ALLOCUTION PRONONCÉE PAR FIDEL CASTRO RUZ, PRÉSIDENT DU CONSEIL D’ETAT ET DU CONSEIL DES MINISTRES, À LA CÉRÉMONIE NATIONALE DE REMISE DE DIPLÔMES À LA SECONDE PROMOTION D’ANIMATEURS CULTURELS, À LA CITÉ DES SPORTS (LA HAVANE), LE 28 OCTOBRE 2005

La Révolution a confié une responsabilité politique élevée à l’Union des jeunes communistes : assurer le succès de ce programme de formation d’animateurs culturels, qui avait été existé voilà plusieurs années et qui reprend aujourd’hui pour concrétiser nos rêves d’une société meilleure et plus riche. L’UJC est chargée de coordonner le travail de la brigade José Martí, de veiller à la qualité de ses actions, à son perfectionnement permanent et à l’exécution des engagements de ses membres. Compléter la quantité de cadres provinciaux et municipaux qui s’occupent de la brigade constitue pour elle une priorité fondamentale.

Allocution du président de la République de Cuba, Fidel Castro Ruz, au cours de la Tribune ouverte de la Révolution, à San Antonio de los Baños (La Havane-province), le 22 septembre 2001

Nous avons vu ces derniers jours comment on a posé à la va-vite les bases, la conception, les objectifs véritables, l’état d’esprit et les conditions de cette guerre. Nul ne saurait affirmer qu’il s’agit de quelque chose auquel on n’avait pas pensé depuis longtemps, dans l’attente d’une occasion. Ceux qui, même après la fin de la guerre dite froide, ont continué de s’armer jusqu’aux dents et de mettre au point les moyens de tuerie et d’extermination les plus perfectionnés, étaient conscients que leurs fabuleuses dépenses militaires leur donneraient le privilège d’imposer une domination complète et totale aux autres peuples du monde. Les idéologues du système impérialiste savaient pertinemment ce qu’ils faisaient et pourquoi ils le faisaient.

ALLOCUTION PRONONCÉE PAR FIDEL CASTRO RUZ, PRÉSIDENT DU CONSEIL D'ÉTAT, POUR LE QUARANTE-SEPTIÈME ANNIVERSAIRE DE L'ATTAQUE DE LA CASERNE MONCADA DU 26 JUILLET 1953, SUR LA PLACE PROVISOIRE DE LA REVOLUTION, À PINAR DEL RÍO, LE 5 AOÛT 2000

Aussi, monsieur Bush, s'il vous arrivait de devenir le chef de ce qu'on ne peut plus désormais appeler une république, mais bel et bien un empire, je vous suggère, en adversaire sincère, de revoir vos positions, d'oublier l'euphorie et les vapeurs de votre convention, pour ne pas courir le risque de vous convertir en ce dixième président qui disparaîtra au loin, contemplant avec une amertume stérile, mais que vous auriez pu vous éviter, une Révolution à Cuba qui ne plie pas, qui ne se rend pas, qui ne peut pas être détruite.

Discours prononcé par Fidel Castro Ruz, président de la République de Cuba, au cours de la Tribune ouverte de la Révolution, à Ciego de Avila, le 29 septembre 2001

Un règlement pacifique est encore possible.Vu la situation tendue actuelle, personne ne pourrait préparer un discours quelques heures avant de le prononcer sans courir le risque de le faire trop tard. Je cours aussi le risque de sembler trop optimiste, ce qui n’est pas du tout le cas. Je m’acquitte cependant du devoir de dire ce que je pense.

DISCOURS PRONONCÉ PAR FIDEL CASTRO À LA CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR L'ENVIRONNEMENT ET LE DÉVELOPPEMENT, À RIO DE JANEIRO (BRÉSIL), LE 12 JUIN 1992

Il faut signaler que les sociétés de consommation sont les responsables fondamentales de l’abominable destruction de l’environnement. Ces sociétés sont nées des anciennes métropoles coloniales et de politiques impériales qui ont engendré à leur tour le retard et la pauvreté qui frappent aujourd’hui l’immense majorité de l’humanité.

ALLOCUTION PRONONCÉE PAR FIDEL CASTRO RUZ, PRESIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DE CUBA, A LA FACULTÉ DE DROIT DE L’UNIVERSITÉ DE BUENOS AIRES (ARGENTINE), LE 26 MAI 2003

Nous ne nous repentons pas le moins du monde de ce que nous avons fait dans notre pays et de la façon dont nous avons organisé notre société (applaudissements). Nous avons pu apprendre beaucoup au sujet de nos possibilités et nous avons une idée de nos priorités. Ceux qui veulent un monde meilleur doivent avoir une idée claire des priorités, des possibilités et des réalités. C’est très important.

Allocution prononcée par Fidel Castro Ruz, président de la République de Cuba, pour le quarante-cinquième anniversaire de la Révolution cubaine, au théâtre Karl Marx, le 3 janvier 2004

Nous n’avons jamais recherché la gloire, les honneurs et la reconnaissance individuelle ou collective. Ceux d’entre nous qui ont le droit légitime de se dire révolutionnaires cubains ont toutefois été contraient d’écrire ce qui est devenu une page sans précédent dans l’histoire. Insatisfaits de la situation politique et sociale de notre pays, nous étions tout simplement décidés à la changer. Ça n’avait rien de nouveau à Cuba, puisque cela s’était passé bien de fois pendant presque un siècle.

DISCOURS PRONONCÉ PAR LE COMMANDANT-EN-CHEF FIDEL CASTRO À LA CÉRÉMONIE DE CLÔTURE DE LA PREMIÈRE RENCONTRE NATIONALE DES PRÉSIDENTS DES COOPÉRATIVES DE CRÉDITS ET SERVICES. Palais des congrès de La Havane. 3 juin 1998

La rencontre était presque conclue lorsqu’on nous rappelle qu’il fallait la clôturer, ce qui ne serait pas en soi une tâche difficile, n’est-ce pas ? Or, le défi à relever était qu’en plus des participants à la rencontre, environ 500 directeurs des Coopératives de crédits et services et de production agro-pastorale et un groupe select de délégués étrangers avaient été invités à la cérémonie de clôture.

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