Fidel
Soldado de las Ideas
Le sport a donné au pays un grand prestige, et le pays doit compenser ces athlètes, qu'ils soient ou non ces branches qui sont très appréciés sur le marché. Ainsi, tous les athlètes qui ont donné tant de preuves de loyauté envers leur patrie et de nombreuses preuves de désintéressement occuper la place qu'ils méritent digne dans la société et se souvient avec affection de son peuple, même quand ils ne vivent plus.
Lorsqu’en juillet 1991 eut lieu le premier Sommet à Guadalajara, je n’imaginais même pas quelle serait l’évolution future de cet événement. J’y étais une espèce d’oiseau rare, un intrus à qui I’on pardonne la vie en l’admettant à cette salle. Cuba était I’éternelle exclue de ce sous-continent. Ne manquaient pas ceux qui me regardaient avec curiosité et même avec de la peine. Il est possible que presque personne pensait que Cuba aurait pu résister I’éffondrement du camp socialiste qui nous conduit abruptement au double blocus que notre pays devrait supporter.
Nous rêvons d'un avenir meilleur, d'un monde plus juste, d'un monde vraiment plus humain pour lequel nous avons tous le devoir de lutter. Votre avenir et celui de vos enfants sera l'avenir que l'humanité sera capable de construire. Cette humanité menacée par une série énorme de dangers de partout, qui ne donnent pourtant le droit à personne de perdre sa foi dans l'homme, de perdre sa foi dans une destinée meilleure pour elle.
À l’École latino-américaine des Sciences médicales, chacun est libre de pratiquer quelle que soit sa religion. Chaque semaine il y a un transport disponible à l’École pour que les élèves assistent aux temples et aux cultes de leur préférence. L’état de santé des élèves est surveillé avec soin et efficacité dans les hôpitaux les plus proches de la capitale. Leur régime alimentaire est raisonnablement convenable et s’adapte dans la mesure du possible à leurs habitudes. Ils ont leur organisation d’étudiants, ils tiennent des échanges de connaissances et d'expressions culturelles ; leurs chants, leurs danses et leurs coutumes nationaux enrichissent le patrimoine culturel de l’ensemble d’élèves.
J'aurais aimé parler d'ici , parce qu'il me semble - du moins, c'est mon cas - qu'on entend mieux ce micro à cause de la réverbération, mais comme j'ai engagé tous ceux qui m'ont précédé, il ne me reste plus d'autre solution que d'aller moi aussi à la tribune. J'y vais donc .
Vos assises de quatre jours ont heureusement coïncidé avec la réunion de deux jours, les 10 et 11, des ministres et responsables de la culture préparatoire au Sommet ibéro-américain qui se tiendra en novembre. Je me suis efforcé d'avoir une idée de ce dont vous avez débattu et de la teneur de vos discussions.
Si à l’heure actuelle nous partageons avec vous les caresses d’un drapeau qu’avec honneur étale sur un triangle rouge évocateur et fier une étoile qui voulut et a toujours su vouloir se tenir seule jusqu’à ce qu’un jour elle joigne définitivement les symboles de tous ceux qui partageons la même culture, la même histoire, le même sang et la même langue; c’est bien parce nous avons voulu être ce que nous sommes et que nous voulons être ce que nous serons.
C'est parce que je me sens en quelque sorte en dette envers les membres de l'Union des journalistes de Cuba et ceux de la Fédération latino-américaine des journalistes que j'adresse à votre journal le discours de nature familiale et quasi confidentiel que j'ai prononcé au Grand Amphi de l'université de La Havane, le 12 novembre 1999, dont j'ai soigneusement révisé certaines parties les plus délicates. Je prends sur moi tout ce que j'y ai dit.
Je n’étais pas sûr de devoir prendre la parole, entre autres raisons pour ne pas vous exposer ici à un discours qui risquerait de s’étendre un petit peu plus que prévu, mais devant ce silence total, je me suis senti obligé d’occuper – écoutez-bien – quelques minutes cette tribune. On nous a distribué un programme qui disait plus ou moins : « Prononcera l’allocution centrale… », comme on dit d’ordinaire lors des meetings publics, au cours des tribunes publiques, etc. Je dis, moi, que je ne prononcerai que l’allocution finale, parce que l’allocution centrale correspondait au président Carter.
L’invitation sincère à visiter Cuba que je vous avais formulée à plus d’une reprise à l’occasion des brèves rencontres que nous avons eues à l’étranger se concrétise aujourd’hui.Nous avons assumé, en parallèle, la responsabilité de diriger les destinées de nos pays : vous, dans une nation immense et puissante ; moi, dans une petite île à cent cinquante kilomètres de votre pays.
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