Allocution prononcée par Fidel Castro Ruz, premier secrétaire du Comité central du Parti communiste de Cuba, président du Conseil d'Etat et du Conseil des ministres, à la bienvenue offerte à la délégation sportive de retour de Baltimore sur l'escalier d'honneur de l'Université de La Havane, le 4 mai 1999

Le sport a donné au pays un grand prestige, et le pays doit compenser ces athlètes, qu'ils soient ou non ces branches qui sont très appréciés sur le marché. Ainsi, tous les athlètes qui ont donné tant de preuves de loyauté envers leur patrie et de nombreuses preuves de désintéressement occuper la place qu'ils méritent digne dans la société et se souvient avec affection de son peuple, même quand ils ne vivent plus.

ALLOCUTION DE FIDEL CASTRO, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DE CUBA À L’OCCASION DE L’INAUGURATION DU IXè SOMMET IBÉRO-AMÉRICAIN DES CHEFS D’ÉTAT ET DE GOUVERNEMENT. LA HAVANE, 16 NOVEMBRE 1999

Lorsqu’en juillet 1991 eut lieu le premier Sommet à Guadalajara, je n’imaginais même pas quelle serait l’évolution future de cet événement. J’y étais une espèce d’oiseau rare, un intrus à qui I’on pardonne la vie en l’admettant à cette salle. Cuba était I’éternelle exclue de ce sous-continent. Ne manquaient pas ceux qui me regardaient avec curiosité et même avec de la peine. Il est possible que presque personne pensait que Cuba aurait pu résister I’éffondrement du camp socialiste qui nous conduit abruptement au double blocus que notre pays devrait supporter.

Allocution à la remise de Diplômes aux élèves de l'institut Supérieur de Sciences Médicales. (La Havane, théâtre Karl Marx, le 9 août 1999)

Nous rêvons d'un avenir meilleur, d'un monde plus juste, d'un monde vraiment plus humain pour lequel nous avons tous le devoir de lutter. Votre avenir et celui de vos enfants sera l'avenir que l'humanité sera capable de construire. Cette humanité menacée par une série énorme de dangers de partout, qui ne donnent pourtant le droit à personne de perdre sa foi dans l'homme, de perdre sa foi dans une destinée meilleure pour elle.

ALLOCUTION DE FIDEL CASTRO, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DE CUBA À L'INAUGURATION DE L’ÉCOLE LATINO-AMERICAINE DES SCIENCES MÉDICALES À L’OCCASION DU IX SOMMET IBÉRO-AMÉRICAIN. LA HAVANE, 15 NOVEMBRE 1999

À l’École latino-américaine des Sciences médicales, chacun est libre de pratiquer quelle que soit sa religion. Chaque semaine il y a un transport disponible à l’École pour que les élèves assistent aux temples et aux cultes de leur préférence. L’état de santé des élèves est surveillé avec soin et efficacité dans les hôpitaux les plus proches de la capitale. Leur régime alimentaire est raisonnablement convenable et s’adapte dans la mesure du possible à leurs habitudes. Ils ont leur organisation d’étudiants, ils tiennent des échanges de connaissances et d'expressions culturelles ; leurs chants, leurs danses et leurs coutumes nationaux enrichissent le patrimoine culturel de l’ensemble d’élèves.

Allocution prononcée par le commandant en chef Fidel Castro Ruz, premier secrétaire du Comité central du Parti communiste de Cuba, président du Conseil d'Etat et du Conseil des ministres, à la clôture du Premier Congrès international Culture et développement, au palais des Congrès, le 11 juin 1999

Vos assises de quatre jours ont heureusement coïncidé avec la réunion de deux jours, les 10 et 11, des ministres et responsables de la culture préparatoire au Sommet ibéro-américain qui se tiendra en novembre. Je me suis efforcé d'avoir une idée de ce dont vous avez débattu et de la teneur de vos discussions.

ALLOCUTION DE FIDEL CASTRO, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DE CUBA AU DÎNER OFFICIEL OFFERT AUX PARTICIPANTS AU IXè SOMMET IBÉRO-AMÉRICAN. LA HAVANE, 15 NOVEMBRE 1999

Si à l’heure actuelle nous partageons avec vous les caresses d’un drapeau qu’avec honneur étale sur un triangle rouge évocateur et fier une étoile qui voulut et a toujours su vouloir se tenir seule jusqu’à ce qu’un jour elle joigne définitivement les symboles de tous ceux qui partageons la même culture, la même histoire, le même sang et la même langue; c’est bien parce nous avons voulu être ce que nous sommes et que nous voulons être ce que nous serons.

Discours prononcé par Fidel Castro Ruz, premier secrétaire du Comité central du Parti communiste de Cuba, président du Conseil d'Etat et du Conseil des ministres, à la clôture du Huitième Congrès de la Fédération latino-américaine des journalistes (FELAP), au Grand Amphi de l'université de La Havane, le 12 novembre 1999

C'est parce que je me sens en quelque sorte en dette envers les membres de l'Union des journalistes de Cuba et ceux de la Fédération latino-américaine des journalistes que j'adresse à votre journal le discours de nature familiale et quasi confidentiel que j'ai prononcé au Grand Amphi de l'université de La Havane, le 12 novembre 1999, dont j'ai soigneusement révisé certaines parties les plus délicates. Je prends sur moi tout ce que j'y ai dit.

ALLOCUTION PRONONCEE PAR FIDEL CASTRO RUZ, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DE CUBA, A L’OCCASION DE LA VISITE DE L’ANCIEN PRESIDENT DES ETATS-UNIS, JAMES CARTER, A L’ECOLE LATINO-AMERICAINE DES SCIENCES MEDICALES, LE 13 MAI 2002

Je n’étais pas sûr de devoir prendre la parole, entre autres raisons pour ne pas vous exposer ici à un discours qui risquerait de s’étendre un petit peu plus que prévu, mais devant ce silence total, je me suis senti obligé d’occuper – écoutez-bien – quelques minutes cette tribune. On nous a distribué un programme qui disait plus ou moins : « Prononcera l’allocution centrale… », comme on dit d’ordinaire lors des meetings publics, au cours des tribunes publiques, etc. Je dis, moi, que je ne prononcerai que l’allocution finale, parce que l’allocution centrale correspondait au président Carter.

Allocution prononcée par le président de la République de Cuba, Fidel Castro Ruz, en accueillant l’ancien président nord-américain James Carter, le 12 mai 2002 à l’aéroport José Martí de La Havane

L’invitation sincère à visiter Cuba que je vous avais formulée à plus d’une reprise à l’occasion des brèves rencontres que nous avons eues à l’étranger se concrétise aujourd’hui.Nous avons assumé, en parallèle, la responsabilité de diriger les destinées de nos pays : vous, dans une nation immense et puissante ; moi, dans une petite île à cent cinquante kilomètres de votre pays.

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