Fidel
Soldado de las Ideas
La représentante étasunienne Ileana Ros, rien moins qu’elle, ravisseuse du petit Elián González à Miami, promotrice de coups d’État, protectrice de criminels comme Posada Carriles et auteur de bien d’autres méfaits, se rendra en Haïti où un séisme a tué un quart de million de personnes et où l’épidémie de choléra en cours a causé la mort de presque quatre mille personnes et reste une menace pour le reste du continent.
L’Arizona, que les États-Unis ont enlevé au Mexique en même temps que bien d’autres étendues de terre, est, on le sait, l’État où meurent des centaines de Latino-Américains quand ils tentent d’émigrer soit en quête de travail soit pour rejoindre leurs parents, leurs conjoints ou d’autres proches.
C’est à travers l’Arizona à la superficie aride que beaucoup de ceux qui émigrent du Mexique, d’Amérique centrale et d’autres pays latino-américains tentent de fuir la faim, la pauvreté et le sous-développement auxquels ces peuples ont été poussés par les États-Unis. L’argent et les marchandises peuvent traverser librement la frontière ; les être humains, non. Sans parler des drogues et des armes qui la franchissent dans les deux directions.
Je ne connais aucun autre moment de l’histoire où l’assassinat de scientifiques soit devenu une politique officielle d’un groupe de puissances dotées d’armes nucléaires....) Cette traque mortelle de scientifiques iraniens organisée par Israël, les États-Unis, la Grande-Bretagne et d’autres puissances est passée sous silence par les grands médias.
À la séance solennelle de l’Assemblée nationale vénézuélienne, au Palais fédéral législatif (Caracas).
À la séance solennelle de l’Assemblée nationale vénézuélienne, au Palais fédéral législatif (Caracas).
Le reportage de la journaliste Gladys Rubio sur l’épidémie de choléra en Haïti que la Table ronde télévisée a présenté hier a été si bouleversant que j’ai décidé d’ajourner à aujourd’hui, mercredi, les Réflexions que j’avais promises lundi. La Table ronde se proposait d’analyser, sous un autre angle, le terrible coup qu’a représenté pour le peuple haïtien le séisme du 12 janvier dernier, suivi en moins de dix mois par une épidémie généralisée de choléra et un cyclone.
Je fais une pause au milieu de plusieurs analyses importantes qui prennent mon temps ces jours-ci pour aborder deux questions que notre peuple doit connaître. L’ONU, poussée par les États-Unis, qui ont engendré la pauvreté et le chaos en République d’Haïti, y a dépêché voilà plusieurs années des forces d’occupation, dites Mission de stabilisation des Nations Unies en Haïti (MINUSTAH), qui y ont d’ailleurs introduit le choléra.
Quand j’ai eu l’immense et agréable surprise d’être accueilli à l’aéroport international José Martí par lui en personne, je lui ai dit : « Je ne mérite pas cet honneur, j’aspire à le mériter un jour dans les mois et les années à venir. » Et je vous dis pareil, chers compatriotes cubano-latino-américains : Nous espérons pouvoir venir un jour à Cuba en mesure de nous tendre les bras et de nous nourrir mutuellement d’un projet révolutionnaire latino-américain, imbus comme nous le sommes depuis des siècles de l’idée d’un continent hispano-américain, latino-américain et caribéen, intégré comme cette seule nation que nous sommes.
Au meeting pour le troisième anniversaire de la Révolution. À ses côtés, Osvaldo Dorticós, président de la République, et Raúl Castro.
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