Un blocus économique sans équivalent dans l’histoire
Washington s’est bien gagné, en cinquante ans, le titre de génocide, même s’il fait tout son possible pour échapper au jugement de l’histoire. Le blocus économique à Cuba a été instauré pratiquement depuis le triomphe de la Révolution, en janvier 1959. Il constitue maintenant le cas le plus prolongé d’un siège maintenu par un ennemi contre sa victime.
De tous les blocus connus dans l’histoire, aucun n’a été aussi prolongé, obstiné et intégral. Homère a conté comment les grecs ont assiégé Troie pendant dix ans. Le siège de Leningrad par les nazis, au cours de la seconde guerre mondiale, a duré 900 jours.
Mais à Cuba, il y a déjà plusieurs générations qui n’ont pas connu, dans toute leur existence, autre chose que les difficiles conditions imposées par la guerre économique, financière et commerciale à laquelle les soumet le puissant empire.
Des calculs récents montrent que l’île a perdu au moins 96 milliards de dollars en raison de cette agression officielle du pays nord-américain qui, depuis les années 70, a reçu annuellement l’approbation de l’occupant de la Maison Blanche, semblable en cela au César qui, dans l’arène, décidait d’un seul geste la vie ou la mort du gladiateur vaincu. Il s’agit bien d’un authentique acte de génocide et non pas d’une simple figure de rhétorique journalistique.
Les lois internationales établissent clairement que toute mesure destinée à laisser mourir de faim ou de maladie un prétendu ennemi doit être classifiée comme acte de génocide et un bon nombre d’organisations internationales utilisent ce qualificatif de façon tout à fait justifiée lorsqu’ils font allusion à ce thème.
Si le peuple cubain a été capable de faire face à une telle violence et s’il peut faire état de réussites importantes malgré les tentatives d’asphyxie menées par le puissant voisin du Nord, cela se doit en premier lieu à un patriotisme profondément ancré dans tous les esprits et une grande capacité de résistance, assistés bien sur par la solidarité de nombreux amis tout autour du monde.
Ce sont ces amis qui, au cours des vingt dernières années, ont exprimé en vote majoritaire à l’Assemblée Générale de l’ONU leur rejet de l’obstination de la Maison Blanche et qui sont parvenus à l’isoler internationalement, même si l’empire refuse toujours de tenir compte de la volonté mondiale.
De tous les blocus connus dans l’histoire, aucun n’a été aussi prolongé, obstiné et intégral. Homère a conté comment les grecs ont assiégé Troie pendant dix ans. Le siège de Leningrad par les nazis, au cours de la seconde guerre mondiale, a duré 900 jours.
Mais à Cuba, il y a déjà plusieurs générations qui n’ont pas connu, dans toute leur existence, autre chose que les difficiles conditions imposées par la guerre économique, financière et commerciale à laquelle les soumet le puissant empire.
Des calculs récents montrent que l’île a perdu au moins 96 milliards de dollars en raison de cette agression officielle du pays nord-américain qui, depuis les années 70, a reçu annuellement l’approbation de l’occupant de la Maison Blanche, semblable en cela au César qui, dans l’arène, décidait d’un seul geste la vie ou la mort du gladiateur vaincu. Il s’agit bien d’un authentique acte de génocide et non pas d’une simple figure de rhétorique journalistique.
Les lois internationales établissent clairement que toute mesure destinée à laisser mourir de faim ou de maladie un prétendu ennemi doit être classifiée comme acte de génocide et un bon nombre d’organisations internationales utilisent ce qualificatif de façon tout à fait justifiée lorsqu’ils font allusion à ce thème.
Si le peuple cubain a été capable de faire face à une telle violence et s’il peut faire état de réussites importantes malgré les tentatives d’asphyxie menées par le puissant voisin du Nord, cela se doit en premier lieu à un patriotisme profondément ancré dans tous les esprits et une grande capacité de résistance, assistés bien sur par la solidarité de nombreux amis tout autour du monde.
Ce sont ces amis qui, au cours des vingt dernières années, ont exprimé en vote majoritaire à l’Assemblée Générale de l’ONU leur rejet de l’obstination de la Maison Blanche et qui sont parvenus à l’isoler internationalement, même si l’empire refuse toujours de tenir compte de la volonté mondiale.
Source:
Cuban News Agency (ACN)
Date:
30/09/2009