L’hostilité que la Maison Blanche maintient contre La Havane depuis 50 ans conditionne le travail éducatif à Cuba, a affirmé le directeur de l’Institut central de sciences pédagogiques, Lisardo García.

Cette politique agréssive cause un grand impact sur la gestion générale de l’enseignement ce qui limite ses possibilités, a exprimé García lors d’une conférence de presse à propos des dommages au système éducationnel cubain de mars 2012 jusqu’à avril 2013.

Il semble que le blocus n’existe pas dans l’éducation parce que les écoles ouvrent leurs portes tous les jours, a exposé l’académicien après avoir affirmé que les enfants cubains auront accès aux études même s’il existe celle politique de Washington.

Seulement pour le paiement d’affrètement dans le déplacement depuis des marchés lointains de presque 400 conteneurs en 2012 le pays a dû payer plus de 800 mille dollars additionnels comparés avec les coûts d’acquisition de ces mêmes produits dans le sud des États-Unis.

Si ces restrictions n’avaient pas existé, avec l’excès de paiment par affrètement, mille 723 modules des six mille nécessaires pour l’enseignement des sciences naturelles  auraient pu être achetés, a-t-il signalé.

Notre objectif est de diminuer les effets du blocus dans la mesure de nos possibilités, a précisé le directeur de l’Institut dépendant du Ministère de l’Éducation.