L’ inégalité dans l’accès aux médicaments est un problème global
L’inégalité dans l’accès aux médicaments est un problème global qui influe sur le droit à la santé d’une grande partie de la population mondiale, a affirmé le docteur Agustin Lage, directeur du Centre d’ingénierie moléculaire de Cuba.
Le scientifique cubain, intervenant dans la Ie Conférence d’études stratégiques qui siège à La Havane, a indiqué que les données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) montrent que le 15 pour cent de la population consomme le 90 pour cent des médicaments.
L’OMS a trouvé que les prix des médicaments sont élevés, la disponibilité est du 30 pour cent et les traitements sont fréquemment impayables pour les patients, a remarqué il.
Lage a signalé que les médicaments dans les pays sous-développés sont la cause du 70 pour cent des frais dans la santé.
Le problème, a exprimé il, ne se limite pas à l’inégalité de consommation, mais il s’étend aux médicaments sous investigation.
Il a dit que l’OMS a divulgué une étude en 2008, dont les résultats montrent que moins du 10 pour cent des moyens pour développer de nouveaux médicaments se consacre à affronter des maladies causant le 90 pour cent da la mortalité.
La conclusion est que les systèmes politiques des pays riches travaillent bien pour encourager l’investigation et financer la santé, mais seulement de leurs propres citoyens.
Le marché fonctionne bien pour diriger le secteur privé vers l’investigation scientifique et les investissements dans la santé, mais seulement pour ceux qui peuvent payer.
Le spécialiste a défini quatre barrières qui séparent les personnes des médicaments : les politiques des prix, la propriété intellectuelle (brevet d'invention), les barrières régulatoires et les insuffisances scientifico-techniques.
Il a souligné que les patients des pays les plus pauvres paient plus cher pour le traitement, tandis que les citoyens des pays riches reçoivent plus d’allocations publiques.
Le nommé Tiers monde, avec le 80 pour cent de la population, a le 30 pour cent des scientifiques et à peine le quatre pour cent des patients, a affirmé il.
Lage a considéré qu’il y a des échecs dans les mécanismes du marché pour placer les moyens où ils sont nécessités le plus. La logique de la compétence crée des barrières qui forcent le cycle d’investigation, de production, de commercialisation et du raffinement de l’investigation, a-t-il affirmé.
Le scientifique cubain, intervenant dans la Ie Conférence d’études stratégiques qui siège à La Havane, a indiqué que les données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) montrent que le 15 pour cent de la population consomme le 90 pour cent des médicaments.
L’OMS a trouvé que les prix des médicaments sont élevés, la disponibilité est du 30 pour cent et les traitements sont fréquemment impayables pour les patients, a remarqué il.
Lage a signalé que les médicaments dans les pays sous-développés sont la cause du 70 pour cent des frais dans la santé.
Le problème, a exprimé il, ne se limite pas à l’inégalité de consommation, mais il s’étend aux médicaments sous investigation.
Il a dit que l’OMS a divulgué une étude en 2008, dont les résultats montrent que moins du 10 pour cent des moyens pour développer de nouveaux médicaments se consacre à affronter des maladies causant le 90 pour cent da la mortalité.
La conclusion est que les systèmes politiques des pays riches travaillent bien pour encourager l’investigation et financer la santé, mais seulement de leurs propres citoyens.
Le marché fonctionne bien pour diriger le secteur privé vers l’investigation scientifique et les investissements dans la santé, mais seulement pour ceux qui peuvent payer.
Le spécialiste a défini quatre barrières qui séparent les personnes des médicaments : les politiques des prix, la propriété intellectuelle (brevet d'invention), les barrières régulatoires et les insuffisances scientifico-techniques.
Il a souligné que les patients des pays les plus pauvres paient plus cher pour le traitement, tandis que les citoyens des pays riches reçoivent plus d’allocations publiques.
Le nommé Tiers monde, avec le 80 pour cent de la population, a le 30 pour cent des scientifiques et à peine le quatre pour cent des patients, a affirmé il.
Lage a considéré qu’il y a des échecs dans les mécanismes du marché pour placer les moyens où ils sont nécessités le plus. La logique de la compétence crée des barrières qui forcent le cycle d’investigation, de production, de commercialisation et du raffinement de l’investigation, a-t-il affirmé.
Source:
Prensa Latina
Date:
18/10/2013