Aucune d’augmentation des prix n’est prévue à Cuba malgré les conséquences des ouragans
« Aucune augmentation des prix n’est prévue pour aucun produit de première nécessité », confirme une note parue dans le quotidien cubain Granma, organe officiel du Parti communiste de Cuba. La même note appelle la population à être vigilante face à ceux qui « cherchent à exploiter à leur propre avantage les nécessités pressantes des citoyens ».
La note parue dans Granma commence en rappelant que « des millions de compatriotes ont subi en leur propre chair la dévastation [provoquée par] les deux puissants ouragans qui nous ont frappé et la grande majorité comprend qu’il faut du temps pour nous remettre des énormes dégâts survenus (…) dans tout le pays ».
Le texte relève ensuite le contraste entre les efforts déployés dans l’ensemble du pays pour venir en aide aux sinistrés et la conduite « particulièrement détestable » de ceux qui « cherchent à exploiter à leur propre avantage les nécessités pressantes des citoyens » ainsi que les bruits « que l’ennemi et ceux qui s’en font l’écho font courir sur des hausses imaginaires des prix ».
« Aucune augmentation des prix n’est prévue »
« Dans les circonstances actuelles, aucune augmentation des prix n’est prévue pour aucun produit de première nécessité (…), et ce malgré la hausse généralisée des coûts des importations », confirme ensuite la note parue dans le quotidien Granma.
« L’alimentation du peuple est une des premières priorités du pays, avec la reconstruction des logements, l’électricité et tous les autres services essentiels », ajoute la note avant de rappeler que la nation s’est attaquée « sans perdre une minute » à la réhabilitation de l’agriculture.
« Les importations prévues de céréales, de grains et d’autres denrées sont garanties et des importations supplémentaires sont négociées sans tarder afin de pouvoir les proposer à la population comme options face à la réduction temporaire dans l’offre de légumes et de fruits qui va avoir lieu dans les prochains mois et pour que l’industrie alimentaire soit à même de garantir la fabrication de certains produits dont la demande est élevée », explique la note parue dans l’organe officiel du Parti communiste de Cuba.
Ce même texte annonce plus loin que tous les marchés de produits agricoles dépendant de l’Etat garderont « les prix décidés par les Conseils d’administration provinciaux et diffusés par les médias locaux ».
En ce qui concerne les marchés agricoles autorisés à établir leurs prix en fonction de l’offre et la demande, ils adopteront comme plafond les prix pratiqués avant les ouragans, relève la note parue dans Granma en précisant qu’il s’agit là d’une disposition provisoire.
La même note signale que les responsables des établissement mentionnés ainsi que les inspecteurs et toute autorité ayant un rapport quelconque avec leur fonctionnement répondront de l’application de ces dispositions. Elle exhorte ensuite la population à exiger le respect de ces mesures.
L’effort national ne peut pas tolérer le délit
Le texte évoque d’autre part des plaintes et des préoccupations exprimées par la population « au sujet des abus des accapareurs et des spéculateurs qui trafiquent avec des produits, souvent volés ou acquis en quantités disproportionnées dans le commerce au détail ».
« La presse est en train de dénoncer de telles conduites et toutes les forces de la société sont mobilisées pour les empêcher de prospérer », rappelle la note de Granma avant d’indiquer que toute la rigueur de nos lois est en train d’être appliquée à ceux qui les violent, notamment « aux individus qui ont incité d’autres à les seconder dans leurs méfaits ».
Ayant fait remarquer que cette rigueur constitue la règle à suivre face à « toute forme de privilège, de corruption ou de vol », le texte souligne également que les sanctions seront encore plus rigoureuses dans les cas liés à l’utilisation « des ressources destinées aux sinistrés ».
La note parue dans Granma commence en rappelant que « des millions de compatriotes ont subi en leur propre chair la dévastation [provoquée par] les deux puissants ouragans qui nous ont frappé et la grande majorité comprend qu’il faut du temps pour nous remettre des énormes dégâts survenus (…) dans tout le pays ».
Le texte relève ensuite le contraste entre les efforts déployés dans l’ensemble du pays pour venir en aide aux sinistrés et la conduite « particulièrement détestable » de ceux qui « cherchent à exploiter à leur propre avantage les nécessités pressantes des citoyens » ainsi que les bruits « que l’ennemi et ceux qui s’en font l’écho font courir sur des hausses imaginaires des prix ».
« Aucune augmentation des prix n’est prévue »
« Dans les circonstances actuelles, aucune augmentation des prix n’est prévue pour aucun produit de première nécessité (…), et ce malgré la hausse généralisée des coûts des importations », confirme ensuite la note parue dans le quotidien Granma.
« L’alimentation du peuple est une des premières priorités du pays, avec la reconstruction des logements, l’électricité et tous les autres services essentiels », ajoute la note avant de rappeler que la nation s’est attaquée « sans perdre une minute » à la réhabilitation de l’agriculture.
« Les importations prévues de céréales, de grains et d’autres denrées sont garanties et des importations supplémentaires sont négociées sans tarder afin de pouvoir les proposer à la population comme options face à la réduction temporaire dans l’offre de légumes et de fruits qui va avoir lieu dans les prochains mois et pour que l’industrie alimentaire soit à même de garantir la fabrication de certains produits dont la demande est élevée », explique la note parue dans l’organe officiel du Parti communiste de Cuba.
Ce même texte annonce plus loin que tous les marchés de produits agricoles dépendant de l’Etat garderont « les prix décidés par les Conseils d’administration provinciaux et diffusés par les médias locaux ».
En ce qui concerne les marchés agricoles autorisés à établir leurs prix en fonction de l’offre et la demande, ils adopteront comme plafond les prix pratiqués avant les ouragans, relève la note parue dans Granma en précisant qu’il s’agit là d’une disposition provisoire.
La même note signale que les responsables des établissement mentionnés ainsi que les inspecteurs et toute autorité ayant un rapport quelconque avec leur fonctionnement répondront de l’application de ces dispositions. Elle exhorte ensuite la population à exiger le respect de ces mesures.
L’effort national ne peut pas tolérer le délit
Le texte évoque d’autre part des plaintes et des préoccupations exprimées par la population « au sujet des abus des accapareurs et des spéculateurs qui trafiquent avec des produits, souvent volés ou acquis en quantités disproportionnées dans le commerce au détail ».
« La presse est en train de dénoncer de telles conduites et toutes les forces de la société sont mobilisées pour les empêcher de prospérer », rappelle la note de Granma avant d’indiquer que toute la rigueur de nos lois est en train d’être appliquée à ceux qui les violent, notamment « aux individus qui ont incité d’autres à les seconder dans leurs méfaits ».
Ayant fait remarquer que cette rigueur constitue la règle à suivre face à « toute forme de privilège, de corruption ou de vol », le texte souligne également que les sanctions seront encore plus rigoureuses dans les cas liés à l’utilisation « des ressources destinées aux sinistrés ».
Source:
ACN
Date:
30/09/2008