Fidel
Soldado de las Ideas
"Soudain, tandis que j’écrivais ces Réflexions, je me suis rappelé que la France était la troisième puissance nucléaire de la planète et que Sarkozy possédait lui aussi un attaché-case qui contient les codes autorisant le lancement de l’une des plus de trois cents bombes que possède ce pays. De quel droit moral peut-on dès lors lancer une attaque contre l’Iran, que l’on condamne pour sa prétendue intention de fabriquer une bombe atomique ? Où sont la sagesse et la logique de cette politique ?"
À partir du 7 septembre, le Conseil de sécurité des Nations Unies analysera si l’Iran a stoppé son programme nucléaire. Si, conformément à la lettre de la dernière résolution, les USA ou Israël tentent d’inspecter un cargo iranien en eaux internationales, ils devront recourir à la force. Voilà où nous en sommes pour l’instant : dans le doute, assurément.
Le général d’armée Raul Castro Ruz, président du Conseil d’Etat et du Conseil des ministres, a reçu dans l’après-midi du jeudi Mme Claudia Grace Uushona, ambassadeur de la République de Namibie, au terme de sa mission à Cuba.
LE commandant en chef Fidel Castro Ruz et le président de la République bolivarienne du Venezuela, Hugo Chavez Frias, ont eu un entretien fraternel et empreint d’émotion le mardi 25 août à La Havane.
PLEINEMENT engagé dans sa bataille incessante pour informer le monde sur le danger d’une guerre nucléaire, et tenter de persuader le président Barack Obama de s’abstenir d’appuyer sur la gâchette, le commandant en chef Fidel Castro a rencontré le lundi 23 août des scientifiques cubains pour traiter de la question des armes nucléaires et des dangers d’une conflagration à grande échelle.
J’ai recueilli dans la seconde partie de ces Réflexions une grande quantité de lignes finales. Elles expliquent son mépris pour l’odieuse institution du Club Bilderberg. Il faut se battre dès aujourd’hui pour éviter qu’ils ne soient conduits à une hécatombe nucléaire, qu’ils puissent retrouver dans la mesure du possible leur santé physique et mentale et inventer les façons dont les êtres humains seront libérés à jamais d’une si terrible destinée.
Une délégation de « Colombiens et Colombiennes pour la paix », conduite par la sénatrice Piedad Cordoba, a été reçue par Fidel dans la matinée du 15 août à La Havane, conformément à l’engagement que le leader de la Révolution avait contracté lors de son entretien avec la législatrice, il y a quelques jours, sur la contribution que des combattants pour la paix comme elle pourraient apporter pour éviter une conflagration qui fait peser sur le monde une menace grave, aux conséquences imprévisibles.
Je voulais parler de Daniel Estulin. 475 pages de vingt lignes chacune m’attendaient pour me plonger dans l’histoire fantastique qu’il raconte, à supposer que l’un quelconque des participants à cette réunion ait le front de nier sa présence là ou sa participation à tout ce que raconte cet ouvrage.
Je ne sais combien de gens auront pris conscience de ce que, entre autres absurdités, le secrétaire général de cet organisme, Ban Ki-moon, exécutant des ordres venus de plus haut, a commis l’idiotie de nommer Álvaro Uribe – alors qu’il était sur le point de conclure son mandat en Colombie – vice-président de la commission chargée d’enquêter sur l’attaque israélienne à la flottille humanitaire qui transportait des aliments essentiels à la population assiégée de la Bande de Gaza, l’attaque ayant eu lieu dans des eaux internationales, à une distance considérable de la côte.
Vous devez savoir que vous avez les moyens d’offrir à l’humanité la seule possibilité réelle de paix. Vous ne pourrez utiliser qu’une seule fois votre prérogative de donner l’ordre de tirer. Il se peut qu’après cette expérience traumatique, on trouve des solutions qui ne nous conduisent pas une fois de plus à une situation si apocalyptique. Tout le monde dans votre pays, même vos pires adversaires de gauche ou de droite, vous en saura assurément gré, ainsi que le peuple étasunien qui n’est absolument pas coupable de la situation qui s’est créée
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