Citas

"Ce pays-ci peut s’autodétruire ; cette Révolution-ci peut se détruire. Ceux qui ne peuvent pas la détruire, ce sont eux ; nous, en revanche, nous pouvons le faire, et ce serait notre faute".

Renvoi au texte original: ALLOCUTION DE FIDEL CASTRO RUZ, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DE CUBA, POUR LE SOIXANTIÈME ANNIVERSAIRE DE SON ENTRÉE À L’UNIVERSITÉ, DANS LE GRAND AMPHI DE L’UNIVERSITÉ DE LA HAVANE, LE 17 NOVEMBRE 2005

"Presque cinquante ans de blocus, le plus long de l’Histoire. Merci, ô Empire yankee, de nous avoir fait grandir, de nous avoir fait gagner en hauteur au fil des ans ! Tout ce que tu as obtenu, c’est que le sang versé par tous les Cubains qui se sont battus et sont morts ici et ailleurs ait fini par infliger une défaite ignominieuse à ton blocus cynique, à tes tentatives criminelles de nous détruire !"

Renvoi au texte original: Allocution prononcée par Fête internationale du travail, sur la place de la Révolution (La Havane)
C’est à coups de papier-monnaie que l’Empire acheta une bonne partie des richesses du monde, un monde auquel il impose ses lois, au mépris de la souveraineté des nations.
Renvoi au texte original: Autocritique de Cuba, 10 juillet 2007

“Révisons chaque discipline, chaque ressource humaine et matérielle que nous consacrons au sport. Soyons plus profonds dans nos analyses, appliquons des idées, conceptions et connaissances nouvelles. Distinguons entre ce qui se fait pour la santé des citoyens et ce qui se fait pour le besoin de compétitions, et divulguons cet instrument de bien-être et de santé”.

Renvoi au texte original: Réflexions: Médaillé d’or : l’honneur !, le 24 août 2008
De nombreux citoyens de la nation la plus riche au monde ne reçoivent pas le même traitement et une grande partie ne vote même pas ; or, ce droit est exercé par bien plus de 90 p. 100 de notre population qui sait lire et écrire, et possède un niveau de culture et de connaissances politiques enviable.
Renvoi au texte original: LES SEPT MEMBRES DU CONGRÈS DES ÉTATS-UNIS EN VISITE À CUBA, 6 avril2009

“Les conditions sont créées pour qu’Obama, jouant de son talent, s’engage dans une politique constructive qui mette fin à celle qui a fait fiasco depuis presque un demi-siècle. Notre pays, qui a résisté et qui est prêt à résister autant qu’il le faudra, n’accuse pas Obama des atrocités commises par d’autres administrations. Il ne conteste pas non plus sa sincérité et son désir de changer la politique et l’image de marque des États-Unis. Il comprend qu’il a livré une bataille très difficile pour être élu, malgré des préjugés centenaires”.

Renvoi au texte original: Du blocus, pas un mot…, 13 avril 2009

"Notre pays a une longue expérience quand il s’agit de protéger le peuple en cas de catastrophes, d’épidémies et de fléaux, ou d’autres situations similaires de caractère naturel, accidentel ou intentionnel. Notre politique de coopération invariable avec d’autres peuples est aussi prouvée."

Renvoi au texte original: Réflexions: "DES SIGNES QUI NE TROMPENT PAS"; Le 16 mai 2009