Citas

“Ce que nous réclamons -et ce pour quoi nous devons lutter-, c’est pour que la mondialisation inévitable qui se développe aujourd’hui en vertu d’une loi de l’Histoire, soit la mondialisation de la fraternité et de la coopération entre tous les peuples, de la globalisation du développement durable, de la distribution juste et de la mise en valeur rationnelle des abondantes richesses matérielles et spirituelles, que l’Homme est capable de créer avec ses mains et son intelligence, condition indispensable pour l’avènement de la patrie commune inéluctable d’une Humanité qui peut et doit perdurer.”

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ PAR FIDEL CASTRO À LA RÉUNION DES CHEFS D’ÉTAT OUDE GOUVERNEMENT DU CARIFORUM, 21 AOÛT 1998
« Máximo Gómez, modeste fils de cette ville, a su devenir un fils illustre du peuple cubain pour avoir apporté à sa lutte pour l’indépendance son bras et sa machette, son génie militaire et son courage, un talent politique notable et une profonde pensée révolutionnaire. »
Renvoi au texte original: Le 22 août, en recevant l’ordre au mérite Duarte, Sánchez y Mella, 24 août 1998

“Il faut avoir confiance dans l'histoire, il faut avoir confiance dans les peuples, et ceci nous stimule dans cette lutte et nous apprend des choses”.

Renvoi au texte original: CONFÉRENCE À L'UNIVERSITÉ AUTONOME DE SAINT-DOMINGUE, 24 AOÛT 1998

“Il y a un autre problème terrible que nous souffrons (...) l'agression à nos identités nationales, l'agression impitoyable à nos cultures, une agression sans précédent, la tendance à une monoculture universelle. Est-ce qu'on peut imaginer un monde pareil ? Il ne s'agit pas d'un monde qui combine la richesse et la culture des différents pays, mais d'un ordre mondial qui, par définition, détruit la culture, d'une mondialisation qui détruit inexorablement la culture.”. 

Renvoi au texte original: CONFÉRENCE À L'UNIVERSITÉ AUTONOME DE SAINT-DOMINGUE, 24 AOÛT 1998

"(...) je vois se lever un jour nouveau au Venezuela, pilier inébranlable et inséparable de l'histoire et du destin de l'Amérique latine. On a le droit de faire confiance en l'expérience ou en son point de vue; non que nous soyons infaillibles, tant s'en faut, ou que nous n'ayons pas commis d'erreurs, mais parce que nous avons eu l'occasion d'étudier à cette université que représente quarante longues années de révolution".

Renvoi au texte original: Allocution prononcée au Grand Amphithéâtre de l'Université centrale du Venezuela, 3 février 1999
“Je suis très conscient, et je l’ai été toute ma vie, que Bolivar a été celui que José Martí a aimé le plus. Bolivar, le Venezuela et son peuple ont toujours été ceux que les Cubains ont admirés le plus. Bolivar, le Venezuela,  son peuple et ses exploits ont toujours inspiré mes rêves de révolutionnaire latino-américain et cubain. »
Renvoi au texte original: À son arrivée à l’aéroport international de Caracas (Venezuela) : 1er février 1999

"Oui, que toutes les langues survivent ! Le monde en a perdu deux mille ces dernières années, de six ou sept mille qu'il en comptait, et on calcule que deux mille disparaîtront dans les vingt prochaines années. Or, quand un dialecte se perd, c'est la richesse spirituelle humaine qui y perd, c'est l'histoire qui y perd, notre histoire d'êtres humains, notre histoire au long de laquelle nous nous sommes transformés d'animaux en hommes, encore que je pense que bien des animaux - qui n'ont pas connu l'esclavage, ni le capitalisme, ni l'exploitation de l'animal par l'animal - se portent très souvent bien mieux que les hommes".

Renvoi au texte original: Allocution du Fidel Castro Ruz, lors de sa rencontre avec l'Union nationale des étudiants, à Belo Horizonte (Brésil), le 1er juillet 1999