“Dieu merci, nous avons eu des hommes qui, à l’époque républicaine, ont mené une lutte très inégale, dans des conditions très défavorables, contre la pénétration yankee, depuis ceux qui, comme Juan Gualberto Gómez et Sanguily, s’y sont opposés tenacement jusqu’à ceux qui, dans les années 20 et 30, se sont immolés et sont tombés pour que survivent la nationalité cubaine, l’esprit national cubain, pour que l’âme nationale ne soit pas absorbée par le puissant étranger. C’est grâce à eux, à cette œuvre de plusieurs générations, à cette tradition, que notre peuple a pu récolter cette maturité et cette conscience révolutionnaire.”