Fidel
Soldado de las Ideas
Ignacio aime une femme. Il n'y a là rien d'extraordinaire. Il affectionne la poésie. Il est fidèle à ses amis. C'est un militaire et il est passionné par sa profession.
Une collègue écrit à propos de Fidel : « Il n'a jamais accepté la défaite », et la pensée va vers les raisons qui ont fait de cette caractéristique, loin d'être une obstination stérile, une condition pour transformer l'utopie en une réalité palpable.
Les rues de Santiago. Ces rues que le soleil chauffe jusqu’à la démesure et où tant de sang généreux a été versé. Ces rues qui rappelle l'atmosphère du roman Bertillon 166, qui ont vu vibrer tout l’humain, la peur et le courage irrépressible, le corps transpercé de Frank País et l'insouciance de Vilma Espin.