Fidel
Soldado de las Ideas
Pendant notre vol vers l'Afrique du Sud, on m’a dit que cette allocution devait être présentée par écrit, étant donné qu'il fallait la traduire et l'imprimer pour les invités qui n'auraient pas accès à l’interprétation simultanée. J'essayais d'imaginer quel serait mon sentiment en arrivant à ce Parlement, qu'est-ce que je pouvais, et qu'est-ce que je devais dire méritant l'intérêt et l'attention de votre part. Puisque vous vous êtes rassemblés si gentiment pour entendre mes propos.
Je pense que nous venons de remporter la seconde victoire, autrement dit le parfait déroulement et les résultats de ce Congrès, avec ou sans ouragan, et même sous l'ouragan ou, comme dans mon cas, poursuivi par lui (rires), puisqu'il est arrivé ici derrière moi, bien que sans de très forts vents, mais avec assez de pluie pour bien mouiller le théâtre Karl Marx où nous aurions dû avoir de quatre à cinq milles invités si l'eau n'y avait pas pénétré, endommageant les services électriques. Et bien que le personnel s'est dit capable de tout rétablir en vingt-quatre heures, on ne pouvait exclure un certain risque découlant de l'électricité, et nous avons alors décidé, comme il avait été prévu si l'on ne pouvait pas faire la clôture au Karl Marx, de la faire ici-même où le Congrès s'est déroulé.
Fidel, Chávez et d’autres président et personnalités d’Amérique latine et des Caraïbes assistent à la première promotion de l’École latino-américaine de médecine (ELAM).
Voyage à Trinité-et-Tobago, le 17 août 1995.
Ils ont fait une sorte de synthèse entre ce que fait un animateur culturel dans une maison de la Culture et ce qu’il doit faire dans une école : ils travaillaient le matin à l’école, ou animaient la communauté l’après-midi ou présentaient des activités culturelles le soir à la communauté. Tout ceci en une semaine. La mairie et le parti de la commune ont estimé qu’il s’agissait là du début d’une transformation culturelle, ce qui est d’autant plus significatif que c’en est une où les institutions culturelles sont en bon état en général mais ne disposent pas de personnel.
Fidel à Pinar del Río pour le quarante-septième anniversaire des attaques des casernes Moncada et Carlos Manuel de Céspedes.
Fidel et Maurice Bishop, Premier ministre de la Grenade, à l’ambassade cubaine auprès de l’ONU, lors de l’Assemblée générale (New York).
Lula et Fidel partagent la joie de la victoire du nouveau président brésilien.
CINQUANTIÈME ANNIVERSAIRE DE L’ATTAQUE DES CASERNES MONCADA ET CARLOS MANUEL DE CÉSPEDES, À SANTIAGO DE CUBA, LE 26 JUILLET 2003
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