Faut-il donner carte blanche à l’hypocrisie et au mensonge?

Accuser le leader de la Révolution bolivarienne, Hugo Chávez, de préparer la guerre contre le peuple colombien, de déclencher une course aux armements, de produire des drogues et de promouvoir leur trafic, de réprimer la liberté d’expression, de violer les droits de l’homme, et lancer d’autres imputations similaires contre lui, relève d’un cynisme répugnant, qui ne dépare pas l’histoire passée et présente de l’Empire, et les valeurs qu’il prône. On ne saurait jamais oublier la réalité, ni manquer de la répéter : la vérité objective et raisonnée est l’arme la plus puissante à inculquer sans répit dans la conscience des peuples.

LA RÉVOLUTION BOLIVARIENNE ET LA PAIX

Ils se trompent, ceux qui croient qu’en divisant les Colombiens et les Vénézuéliens, ils feront triompher leurs plans contre-révolutionnaires. Nombre des meilleurs et des plus modestes travailleurs au Venezuela sont des Colombiens, et la Révolution leur a apporté à eux-mêmes et à leurs êtres chers l’éducation, la santé, l’emploi, les droits citoyens et d’autres bienfaits. Les Vénézuéliens et les Colombiens défendront ensemble la grande patrie du Libertador d’Amérique ; ils se battront ensemble pour la liberté et la paix.

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