Fidel
Soldado de las Ideas
Accuser le leader de la Révolution bolivarienne, Hugo Chávez, de préparer la guerre contre le peuple colombien, de déclencher une course aux armements, de produire des drogues et de promouvoir leur trafic, de réprimer la liberté d’expression, de violer les droits de l’homme, et lancer d’autres imputations similaires contre lui, relève d’un cynisme répugnant, qui ne dépare pas l’histoire passée et présente de l’Empire, et les valeurs qu’il prône. On ne saurait jamais oublier la réalité, ni manquer de la répéter : la vérité objective et raisonnée est l’arme la plus puissante à inculquer sans répit dans la conscience des peuples.
À une visite dans la province de Pinar del Río.
Au Meeting pour la quarantième Journée du Milicien, à La Havane.
Pour le vingt-sixième anniversaire du débarquement du Granma. A ses côtés, Raúl Castro Ruz.
À l’inauguration des Premiers Jeux du sport cubain.
Allocution à l’École latino-américaine de sciences médicales pour la Journée de la médecine latino-américaine.
Ils se trompent, ceux qui croient qu’en divisant les Colombiens et les Vénézuéliens, ils feront triompher leurs plans contre-révolutionnaires. Nombre des meilleurs et des plus modestes travailleurs au Venezuela sont des Colombiens, et la Révolution leur a apporté à eux-mêmes et à leurs êtres chers l’éducation, la santé, l’emploi, les droits citoyens et d’autres bienfaits. Les Vénézuéliens et les Colombiens défendront ensemble la grande patrie du Libertador d’Amérique ; ils se battront ensemble pour la liberté et la paix.
Fidel Castro et Camilo Cienfuegos portant l’uniforme de l’équipe des Barbus à un match amical de base-ball contre l’équipe de la Police militaire, au stade du Cerro.
À la cérémonie à la mémoire des sept étudiants de médecine fusillés en novembre 1871 par le gouvernement colonial espagnol (Grand escalier d’honneur de l’Université de La Havane).
Assemblée provinciale du PCC. La Havane.
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