Nicolás Guillén

Salut, Guevara !
Ou mieux encore depuis le tréfonds américain :
Attends-nous. Nous partirons avec toi. Nous voulons
mourir pour vivre comme tu es mort,
pour vivre comme tu vis,
Che comandante ami

Beaux vers finals du Poète national.

DENG XIAOPING

Il se prenait pour un sage, et sans doute l’était-il. Mais il commit une légère erreur.« Il faut punir Cuba », dit-il un jour. Jamais notre pays n’avait prononcé ne serait-ce que son nom. Ce fut une offense absolument gratuite.

Alberto Juantorena

Exemple de gloire sportive cubaine, son nom grandit avec force. Son âge et sa santé le rendent idéal à la présidence du Comité olympique cubain.

CONDUITES INOUBLIABLES

Chaque homme vit son époque. La nôtre est infiniment changeante par rapport à toutes les précédentes. J’ai eu le privilège de constater sa conduite quand il payait amèrement la dette contracté par un autre qui avait vendu son âme au diable pour quelques verres de vodka.

QUE SONT LES FC ?

Ils constituent une méthode par laquelle je m’efforce de transmettre les modestes connaissances que j’ai acquises durant de longues années et que je juge utiles aux fonctionnaires cubains responsables de la production d’aliments essentiels à la vie de notre peuple, une tâche que je partage avec plaisir avec Talía González, vieille amie de l’époque d’Elián González.

Des journées insolites

«Un long article du New York Times signé de Jo Becker et de Scott Shane, “Secret ‘Kill List’ Proves a Test of Obama’s Principles and Will" (« Une liste secrète “Bon à tuer“ teste les principes et la volonté d’Obama ») a permis de savoir que le président passait une quantité d’heures surprenante à superviser la "désignation" de prétendus terroristes qui seront assassinés dans le cadre du programme de drones [avion sans pilote télécommandé] qu’il a hérité du président George W. Bush et qu’il a élargi exponentiellement.»

UN ÉCLAIRCISSEMENT HONNÊTE

Fut-il correct, du point de vue militaire et révolutionnaire, d’attaquer la garnison bien armée installée au bord de mer, près d’un embarcadère d’où partait le bois coupé dans cette zone ? Pourquoi l’avons-nous fait ? Il se trouve que l’expédition du Corynthia venait juste de débarquer aux ordres de Calixto Sánchez White. Et c’est un puissant sentiment de solidarité qui nous poussa à attaquer la garnison de l’Uvero.

LES HORREURS QUE NOUS OFFRE L’EMPIRE

Dans notre patrie, des problèmes pareils n’existent pas. Est-ce pour ça que l’Empire veut nous amener à la reddition par la faim et l’hostilité ? Un demi-siècle ne lui a pas suffi, et je doute fort qu’il dispose d’un nouveau demi-siècle avant qu’il ne soit enseveli, plus tôt que tard, sous sa propre fange.

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