"Vous accusez les révolutionnaires cubains d’être des tortionnaires. Je vous invite sérieusement à présenter un seul cas de torture parmi les plus de mille envahisseurs capturés après les combats de Playa Girón. J’étais là, sur place, pas à l’abri d’un lointain poste de commandement. J’ai fait personnellement, aidé d’autres combattants, de nombreux prisonniers ; je suis passé devant des escouades armées toujours dissimulées dans les bois qui auraient pu faire feu, mais n’en firent rien, paralysées par la simple présence sur place du chef de la Révolution. Je regrette d’avoir à mentionner ce genre de fait qui peut passer pour un éloge personnel, ce que je déteste sincèrement".
Renvoi au texte original:
REFLEXIONS "LE CANDIDAT RÉPUBLICAIN" (Première partie), 10 février 2008