"(...) tout ce qui contribue aujourd’hui au sous-développement et à la pauvreté constitue une violation flagrante de l’écologie".
Citas
"Elles ont empoisonné les mers et les fleuves, pollué l’air, affaibli et troué la couche d’ozone, saturé l’atmosphère de gaz qui altèrent les conditions climatiques et ont des effets catastrophiques dont nous commençons à souffrir".
"Une importante espèce biologique risque de disparaître à cause de la liquidation rapide et progressive de ses conditions de vie naturelles : l’homme".
«Faisons cesser la tyrannie d'un ordre qui impose des principes aveugles, anarchiques et chaotiques, conduisant l'espèce humaine à l'abîme. Sauvons la nature. Préservons les identités nationales. Protégeons les cultures de chaque pays. Faisons régner l'égalité, la fraternité et, partant, la vraie liberté. Les clivages insondables entre riches et pauvres au sein de chaque nation et entre les pays ne peuvent continuer de se creuser; ils doivent au contraire diminuer progressivement pour disparaître un jour. Que ce soit le mérite, la capacité, l'esprit créateur et la contribution réelle au bien-être de l'humanité, et non le vol, la spéculation ou l'exploitaiton des plus faibles, qui fixent les bornes de ces clivages. Que l'on pratique vraiment l'humanisme, dans les faits, et non dans des slogans hypocrites.»
"La politique et l’économie mondiale étaient gérées si aveuglement et chaotiquement, qu’on ne connaissait ou l’on mentionnait guère, jusqu’à seulement quelques décennies, des concepts comme l’environnement, la diversité biologique, la préservation de la nature, la désertification, les trous de la couche d’ozone, les aléas climatiques. Sous un système de production déréglé et effréné, devenu à ce jour, domination impériale, hégémonique et unipolaire, d’importantes ressources ont été gaspillées, des ravages importants ont été causé à la nature, des modèles de consommation absurdes et intenables ont été créés, et qui sont le rêve sans espérance de l’immense majorité de ceux qui habitent aujourd’hui la planète et de ceux qui la habiteront demain".
"Dans un siècle à peine, on a brûlé et jetté dans l’air et dans la mer, sous forme de déchets de gaz et de produits qui en dérivent, une bonne partie des réserves en hydrocarbures que la nature a tardé des centaines de millions d’années à produire. La norme unique de tirer de profits, coûte que coûte, sans étique ou principe moral, sans prévision aucune, a laissé une empreinte dévastatrice pour les générations présentes et futures".
“La population mondiale, d’à peine quelques centaines de millions de personnes, ne se montait pas aux 6,2 milliards d’habitants que compte la Terre aujourd’hui, dont l’immense majorité vivent dans le tiers monde où les desserts s’étendent aujourd’hui, où les forêts disparaissent, où les sols sont érodés, où le climat change et où la pauvreté et les maladies qui ravagent aujourd’hui la planète sont à présent de plus en plus épouvantables.”
- 1 of 2
- siguiente ›