Citas

"Et rappelez-vous ce que l’Histoire nous apprend: les révolutions ne se font pas à moitié, et soit elles triomphent pleinement, soit elles sont vaincues, que l’on passe de l’extrême révolution à l’extrême réaction. Bien entendu, soyez surs qu’on ne nous comptera pas au rang des vaincus".

Renvoi au texte original: À la clôture du Dixième Congrès de la Centrale des travailleurs de Cuba (CTC), 21 novembre 1959

« On pourra faire disparaître notre peuple de la face de la Terre, mais on ne pourra jamais le vaincre, car, fort de sa raison, de son héroïsme, de sa dignité, de son honneur et de sa grandeur, il est invincible et il faut le respecter. »

Renvoi au texte original: À la remise de la cinquième station de police au ministère de l’Éducation pour en faire une école. 11 janvier 1960.

“Cuba ne flanchera pas, Cuba ne reculera pas ; la Révolution ne s’arrêtera pas ; la Révolution ne reculera pas : la Révolution ira de l’avant, victorieuse ; la Révolution poursuivra sa marche, inébranlable! Voilà la promesse que nous faisons, non pas à ceux qui sont morts, parce que mourir pour la patrie c’est vivre13, mais aux compagnons dont nous garderons le souvenir comme de quelque chose à nous ; pas dans le souvenir ou dans le cœur de quelqu’un ou de quelques-uns, mais dans le seul souvenir indélébile : le souvenir ancré dans le cœur d’un peuple14.”

Renvoi au texte original: Discours prononcé aux funérailles solennelles des victimes su sabotage du cargo La Coubre

"Pas seulement de résister : de vaincre. Car nous n’aurions pas d’autre alternative maintenant que celle avec laquelle nous avons lancé la lutte révolutionnaire : la liberté ou la mort".

Renvoi au texte original: Discours prononcé par Fidel Castro Ruz aux funérailles solennelles des victimes su sabotage du cargo La Coubre, au cimetière de Colon, La Havane, 5 mars 1960

« Les révolutions ne se font pas par caprice. Personne ne pourrait dire que le caprice d’un groupe d’hommes peut conduire un peuple à la révolution. Les révolutions se font par nécessité, et les peuples n’en sont pas coupables. Les peuples les font poussés par la nécessité, même si ceux qui y interviennent le font avec plaisir. »

Renvoi au texte original: À la clôture du Congrès de la Confédération des organisations touristiques d’Amérique latine (COTAL), au Río Cristal de La Havane, 23 avril 1960
« à travailler, à organiser et à mettre en marche l’esprit créateur, l’enthousiasme de la Cubaine, pour qu’elle fasse disparaître à cette étape révolutionnaire jusqu’au dernier vestige de discrimination et qu’elle occupe, par ses vertus et ses mérites, la place qu’il lui correspond dans l’histoire de la patrie. »
Renvoi au texte original: À la création de la Fédération des femmes cubaines qui constitue un nouveau pas dans l’unité du peuple autour de ses dirigeants révolutionnaires, 23 août 1960

“Dieu merci, nous avons eu des hommes qui, à l’époque républicaine, ont mené une lutte très inégale, dans des conditions très défavorables, contre la pénétration yankee, depuis ceux qui, comme Juan Gualberto Gómez et Sanguily, s’y sont opposés tenacement jusqu’à ceux qui, dans les années 20 et 30, se sont immolés et sont tombés pour que survivent la nationalité cubaine, l’esprit national cubain, pour que l’âme nationale ne soit pas absorbée par le puissant étranger. C’est grâce à eux, à cette œuvre de plusieurs générations, à cette tradition, que notre peuple a pu récolter cette maturité et cette conscience révolutionnaire.”

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ PAR FIDEL CASTRO RUZ À L’OCCASION DE LA GRANDE ASSEMBLÉE DU PEUPLE CUBAIN RÉUNIE SUR LA PLACE CIVIQUE, Le 2 septembre 1960