Citas

“Nous faisons tous partie de quelque chose de plus grand que nous, qui est la patrie, le peuple ; nos vies font partie de la vie infinie et immortelle de la nation cubaine et de notre peuple révolutionnaire.”

Renvoi au texte original: Inauguration de l’école d’initiation aux sports (EIDE) de La Havane, le 6 octobre 1977
Tout ceci est très symbolique. Cela prouve que le crime ne peut tuer les idées, que le crime ne peut freiner la marche victorieuse d’un peuple, que le crime, aussi monstrueux qu’il soit, ne peut tuer la vie, et que la vie n’appartient pas à chacun de nous, mais à nous tous. Nous faisons tous partie de quelque chose de bien plus grand que nous : la patrie, le peuple. Nos vies font partie de la vie infinie et immortelle de la nation cubaine et de notre peuple révolutionnaire.
Renvoi au texte original: Fidel inaugure l’Ecole d’initiation sportive scolaire Martyrs de la Barbade, 6 octobre 1977

“Il y a pourtant une possibilité pour les peuples de se remettre d'une douleur aussi profonde. Il y a un châtiment, pour les contre-révolutionnaires, pire que tous les autres châtiments, c'est la Révolution elle-même, ses efforts, ses acquis, sa marche victorieuse. Le pire châtiment pour les criminels, c'est quand le crime quils pensaient utiliser comme une arme pour décourager le peuple, pour faire peur au peuple, se transforme en énergie pour le peuple, en force pour le peuple et que le courage du peuple se multiplie. Il existe un châtiment auquel ils ne se résigneront jamais : la défaite de leurs idées”.

Renvoi au texte original: Inauguration de l’école d’initiation aux sports (EIDE) de La Havane

“Mais ce qui est peut être plus répugnant et plus douloureux dans des faits comme celui que nous évoquons aujourd’hui, c’est que si, au début, ils tuaient pour empêcher la Révolution, il est presque certain maintenant que le crime de la Barbade a été commis pour se venger d'une Révolution qu'ils n'ont plus aucun espoir d'empêcher”.

Renvoi au texte original: Inauguration de l’école d’initiation aux sports (EIDE) de La Havane

"Malgré notre pauvreté et de notre sous-développement, nous estimons qu'il est de notre devoir le plus sacré de coopérer avec d'autres peuples plus pauvres et plus sous-développés que nous. Cela est un principe sacré de la Révolution cubaine, celui que nous appelons internationalisme, parce que nous estimons que tous les peuples sont frères et que l'humanité passe avant la patrie"

Renvoi au texte original: Meeting tenu sur la Place Sam sharpe à Montego bay (Jamaïque), le 17 oc­tobre 1977

“Le blocus économique de Cuba et les agressions contre notre pays sont discrédités ; ils sont devenus insoutenables aux yeux du monde. Les impérialistes n'ont plus d'arme morale pour défendre cette politique d'agression”.

Renvoi au texte original: Clôture de la Deuxième Session de L’assemblée Nationale du Pouvoir Populaire, le 24 décembre 1977

“Le blocus se maintient. Ce qu'il y a d’immoral dans cette politique des États-Unis, c'est qu'elle prétend utiliser le blocus comme une arme de négociation”.

Renvoi au texte original: Clôture de la Deuxième Session de L’assemblée Nationale du Pouvoir Populaire, le 24 décembre 1977