“Sans réforme agraire, donc, notre pays n’aurait pas pu faire le premier pas vers le développement. Et alors, oui, nous l’avons fait. Nous avons fait une réforme agraire”.
Citas
Nous avons confiance en l’humanité, nous avons confiance en l’homme, et l’humanité ne se laissera pas anéantir et ne laissera pas anéantir sa nature, ses eaux, ses océans, ses ressources.
"C’est quand nous avons fait notre réforme agraire, en mai 1959, qu’Eisenhower a décidé de ce qu’il fallait faire (...) C’est dans le cadre de ces décisions hâtives qu’Eisenhower supprima en décembre 1960 nos contingents sucriers qui furent redistribués ensuite, en guise de punition, entre des producteurs d’Amérique latine et d’autres régions du monde. Notre pays se retrouva en proie à un blocus et isolé.
Le pire fut le manque de scrupules et les méthodes dont fit preuve l’Empire pour nous imposer sa domination : il introduisit des virus dans notre pays et liquida nos meilleurs plantations de canne à sucre ; il attaqua notre café, il attaqua notre pomme de terre, il attaqua aussi nos porcs. (...) Les Yankees liquidèrent les meilleures en utilisant des vecteurs. Pire encore, ils introduisirent le virus de la dengue hémorragique (...) Nous ne savons pas s’ils ont employé d’autres virus, ou alors s’ils ont eu peur de le faire à cause de la proximité de Cuba".
"Quand la Révolution triompha à Cuba le 1er janvier 1959, presque quinze ans après l’éclatement des premières armes nucléaires, et qu’elle promulgua une loi de réforme agraire basée sur le principe de la souveraineté nationale consacré par le sang des millions de combattants qui moururent durant cette guerre-là, les Etats-Unis répondirent par un programme d’actions illégales et d’attentats terroristes contre le peuple cubain, souscrit par le président des Etats-Unis en personne, Dwigth D. Eisenhower".