“La mondialisation néo-libérale détruit rapidement la nature, empoissonne l’air et l’eau, contribue à la déforestation, désertifie et érode les sols; épuise et gaspille les ressources naturelles, change le climat”.
Citas
«Certains, en proie à l'angoisse, à l'incertitude et au doute, cherchent des solutions de substitution éclectiques. Or, face à une mondialisation néolibérale, déshumanisée, moralement et socialement indéfendable, écologiquement et économiquement intenable, le monde n'a pas d'autre choix qu'une distribution juste des richesses que les êtres humains créent de leurs mains laborieuses et de leur intelligence féconde.»
"L'économie mondiale, donc, n'a pas enregistré une croissance plus rapide en termes réels sous le néolibéralisme. En revanche, différents symptômes se sont aggravés : instabilité, spéculation, dette extérieure, échange inégal, tendance à des crises financières plus fréquentes, pauvreté, inégalité, abîme entre le Nord opulent et le Sud démuni".
"L'Amérique latine, où le néolibéralisme a été appliqué selon une orthodoxie doctrinaire, a enregistré durant cette étape une croissance économique qui n'atteint pas non plus la moitié de ce qu'elle avait été dans le cadre des politiques <développementistes > sous conduite de l'Etat".
La mondialisation, corsetée dans la camisole de force du néo-libéralisme, tend à ce titre à mondialiser, non le développement, mais la pauvreté ; non le respect de la souveraineté de nos États, mais sa violation ; non la solidarité entre les peuples, mais le « sauve qui peut » au milieu de la concurrence déloyale sur le marché.
“Cette bataille contre la mondialisation néo-libérale est, pourrait-on dire, la cause commune de tous les peuples”.
"La mondialisation néo-libérale imposée au monde, conçue dans le cadre du « Consensus de Washington » pour piller encore plus les ressources naturelles de la planète, a conduit la plupart des pays du tiers monde, en particulier ceux d’Amérique latine, à une situation désespérée et intenable".
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