Citas

“Ils sont nés à quatre-vingt-trois ans d’intervalle. Le premier était déjà un personnage légendaire quand le second est venu au monde. Si l’un a affirmé que quiconque tenterait se s’emparer de Cuba recueillerait la poussière de son sol baignée de sang s’il ne périssait dans la lutte, l’autre a baigné de son sang le sol de Bolivie en tâchant d’empêcher que l’empire ne s’empare de l’Amérique”.

Renvoi au texte original: Acte solennel d'hommage à l'anniversaire de Maceo et le Che dans la Cacahual, Ciudad de La Habana, 15 juin 2002

“Par dangers internes, je veux essentiellement parler des risques de nature sociale ou morale qui pourraient toucher notre population et provoquer des dommages à sa sécurité, à son éducation ou à sa santé. On sait combien nous avons lutté contre l’habitude de fumer et combien nous avons réduit la consommation du tabac. Nous luttons aussi contre la consommation d’alcool excessive ou contre son ingestion, ce qui est encore plus douloureux, par des femmes enceintes car les enfants risquent de naître avec une arriération mentale ou d’autres graves limitations physiques”.

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ PAR FIDEL CASTRO, SUR LA CRISE MONDIALE ACTUELLE, À L’OCCASION DE LA PRISE EN CHARGE DE SES FONCTIONS, LA HAVANE, LE 6 MARS 2003

“L’interprétation de l’hymne, le 20 octobre, coïncidait avec le fait d’armes grâce auquel la Révolution remporte sa première grande victoire sur les troupes coloniales espagnoles. La capitulation de Bayamo et l’entrée victorieuse de Céspedes marquaient l’aboutissement de l’acte de rébellion réalisé le 10 octobre au moulin à sucre La Demajagua qui marqua un tournant dans l’histoire de notre pays et fit naître, sur les ruines des premiers réduits coloniaux, la nation cubaine”.

Renvoi au texte original: Allocution à la remise de diplômes à la première promotion des Ecoles d’animateur culturel, à Santa Clara, 20 octobre 2004

"Ce pays-ci peut s’autodétruire ; cette Révolution-ci peut se détruire. Ceux qui ne peuvent pas la détruire, ce sont eux ; nous, en revanche, nous pouvons le faire, et ce serait notre faute".

Renvoi au texte original: ALLOCUTION DE FIDEL CASTRO RUZ, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DE CUBA, POUR LE SOIXANTIÈME ANNIVERSAIRE DE SON ENTRÉE À L’UNIVERSITÉ, DANS LE GRAND AMPHI DE L’UNIVERSITÉ DE LA HAVANE, LE 17 NOVEMBRE 2005

"La conduite et les actions de Cuba en riposte aux provocations de l’Empire seront foncièrement pacifiques, mais nous frapperons de toute la force de notre morale et nous serons prêts à verser jusqu’à la dernière goutte de notre sang face à toute agression militaire de l’Empire convulsé et brutal qui nous menace. Que nul n’oublie un seul instant la promesse grandiose d’Antonio Maceo, notre Titan de bronze : « Quiconque tentera de s’emparer de Cuba recueillera la poussière de son sol baignée de sang, s’il ne périt dans la lutte. »"

Renvoi au texte original: Conclusion de l’intervention télévisée du président Fidel Castro Ruz du 22 janvier 2006

À présent s’impose plus que jamais la rationalité et la lutte contre le gaspillage, le parasitisme et le conformisme.  Il faut agir avec une honnêteté absolue, sans démagogie ni aucune concession à l’opportunisme et aux faiblesses. Les militants révolutionnaires en doivent être exemples. Ils doivent offrir et avoir confiance, tout donner pour le peuple, même la vie s’il en serait nécessaire.

Renvoi au texte original: Harcelés par les ouragans, Le 7 septembre 2008

« Notre Révolution peut se présenter au monde comme un modèle de révolution ; la noblesse de l’Armée rebelle vis-à-vis de l’ennemi n’a pas de précédent dans l’histoire des révolutions et des guerres. »

À la grande manifestation populaire, au Palais présidentiel, 21 janvier 1959.

Renvoi au texte original: Discurso pronunciado en la Magna Concentración Popular, en el Palacio Presidencial, el 21 de enero de 1959.