Citas

“La mondialisation néo-libérale détruit rapidement la nature, empoissonne l’air et l’eau, contribue à la déforestation, désertifie et érode les sols; épuise et gaspille les ressources naturelles, change le climat”.

Renvoi au texte original: ALLOCUTION DE FIDEL CASTRO AU DOUZIÈME SOMMET DES PAYS NON ALIGNÉS, 2 septembre 1998

«Certains, en proie à l'angoisse, à l'incertitude et au doute, cherchent des solutions de substitution éclectiques. Or, face à une mondialisation néolibérale, déshumanisée, moralement et socialement indéfendable, écologiquement et économiquement intenable, le monde n'a pas d'autre choix qu'une distribution juste des richesses que les êtres humains créent de leurs mains laborieuses et de leur intelligence féconde.»

Renvoi au texte original: Discours prononcé pour le quarantième anniversaire de la Révolution, place Céspedes (Santiago de Cuba), le 1er janvier 1999

""Quelle type de mondialisation avons-nous aujourd’hui ? Une mondialisation néoliberale ? C’est ainsi que nombreux d’entre nous l’appelons. Est-elle soutenable ? Non".".

Renvoi au texte original: Allocution prononcée par Fidel Castro Ruz, président du Conseil d’État de la République de Cuba, au Grand Amphithéâtre de l'Université centrale du Venezuela, le 3 février 1999

"Voyez l’évolution du sport dans le monde : personne ne sait où va s’arrêter cette triste transformation, désormais irréversible, du sport amateur et des Jeux olympiques en des compétitions de professionnels."

 

Discours et interventions : À l’accueil de la délégation sportive de retour de Baltimore, à l’Université de La Havane, le 4 mai 1999.

Renvoi au texte original:
Le monde avance et le monde se mondialise, nous l’avons dit. Si seulement le jour venait où toute l’humanité était une seule famille et toutes les richesses, toutes les sciences, toutes les technologies et toutes les ressources profitaient à tous !
Renvoi au texte original: Pour le quarantième anniversaire de la Première loi de réforme agraire (La Havane), 17 mai 1999

"Je pense que ce dont les peuples ont besoin, ce n'est pas tant d'armes que d'idées. Pour substituer à une mondialisation inhumaine, intenable, qui menace la vie de la planète, un ordre social juste et humanitaire, qui offre à l'humanité l'occasion de survivre, un monde qui puisse avoir un peu d'eau potable, un monde qui dispose d'air pour respirer, un monde qui puisse disposer des aliments nécessaires, un monde qui soit capable, grâce à sa riche technologie, de produire les toits dont les personnes ont besoin pour vivre, les écoles dont les enfants ont besoin pour s'éduquer, les médicaments dont les habitants ont besoin pour protéger leur santé, les soins médicaux dont tout le monde a besoin, les enfants, les jeunes et les personnes âgées".

Renvoi au texte original: Allocution prononcée par Fidel Castro Ruz, premier secrétaire du Comité central du Parti communiste de Cuba, président du Conseil d'Etat et président du Conseil des ministres, lors de la remise de médaille José Bonifacio (grade de Grand Officier) à l'Univ

“Qui est représentée ici aussi par l'intermédiaire de l'Organisation continentale latino-américaine des étudiants. L'heure a sonné de penser à la patrie mondiale; l'heure a sonné de penser au monde, parce que notre planète s'est inexorablement mondialisée selon la philosophie, la conception la plus triste et la plus cruelle qui soit, sous l'égide d'une seule superpuissance et en vue d'un monde unipolaire, et tout ceci non pour sauver le monde, mais pour le détruire (applaudissements), non pour apporter la justice dont nous avons tous besoin.”

Renvoi au texte original: Allocution du Fidel Castro Ruz, lors de sa rencontre avec l'Union nationale des étudiants, à Belo Horizonte (Brésil), le 1er juillet 1999