“La mondialisation néo-libérale détruit rapidement la nature, empoissonne l’air et l’eau, contribue à la déforestation, désertifie et érode les sols; épuise et gaspille les ressources naturelles, change le climat”.
Citas
«Certains, en proie à l'angoisse, à l'incertitude et au doute, cherchent des solutions de substitution éclectiques. Or, face à une mondialisation néolibérale, déshumanisée, moralement et socialement indéfendable, écologiquement et économiquement intenable, le monde n'a pas d'autre choix qu'une distribution juste des richesses que les êtres humains créent de leurs mains laborieuses et de leur intelligence féconde.»
""Quelle type de mondialisation avons-nous aujourd’hui ? Une mondialisation néoliberale ? C’est ainsi que nombreux d’entre nous l’appelons. Est-elle soutenable ? Non".".
"Voyez l’évolution du sport dans le monde : personne ne sait où va s’arrêter cette triste transformation, désormais irréversible, du sport amateur et des Jeux olympiques en des compétitions de professionnels."
Discours et interventions : À l’accueil de la délégation sportive de retour de Baltimore, à l’Université de La Havane, le 4 mai 1999.
"Je pense que ce dont les peuples ont besoin, ce n'est pas tant d'armes que d'idées. Pour substituer à une mondialisation inhumaine, intenable, qui menace la vie de la planète, un ordre social juste et humanitaire, qui offre à l'humanité l'occasion de survivre, un monde qui puisse avoir un peu d'eau potable, un monde qui dispose d'air pour respirer, un monde qui puisse disposer des aliments nécessaires, un monde qui soit capable, grâce à sa riche technologie, de produire les toits dont les personnes ont besoin pour vivre, les écoles dont les enfants ont besoin pour s'éduquer, les médicaments dont les habitants ont besoin pour protéger leur santé, les soins médicaux dont tout le monde a besoin, les enfants, les jeunes et les personnes âgées".
“Qui est représentée ici aussi par l'intermédiaire de l'Organisation continentale latino-américaine des étudiants. L'heure a sonné de penser à la patrie mondiale; l'heure a sonné de penser au monde, parce que notre planète s'est inexorablement mondialisée selon la philosophie, la conception la plus triste et la plus cruelle qui soit, sous l'égide d'une seule superpuissance et en vue d'un monde unipolaire, et tout ceci non pour sauver le monde, mais pour le détruire (applaudissements), non pour apporter la justice dont nous avons tous besoin.”
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