Citas

"Nous insistons, en tant que pays non alignés, sur le fait qu’il faut éliminer l’inégalité colossale qui sépare les pays développés des pays en voie de développement. Aussi luttons-nous pour supprimer la pauvreté, la faim, la maladie et l’analphabétisme dont souffrent encore des centaines de millions d’êtres humains. Nous aspirons à un nouvel ordre mondial, fondé sur la justice, l’équité et la paix (...)"

Renvoi au texte original: ALLOCUTION PRONONCÉE À LA TRENTE-QUATRIÈME SESSION DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES NATIONS UNIES NEW YORK, 12 OCTOBRE 1979

"(...) réclamons -et ce pour quoi nous devons lutter-, c’est pour que la mondialisation inévitable qui se développe aujourd’hui en vertu d’une loi de l’Histoire, soit la mondialisation de la fraternité et de la coopération entre tous les peuples, de la globalisation du développement durable, de la distribution juste et de la mise en valeur rationnelle des abondantes richesses matérielles et spirituelles, que l’Homme est capable de créer avec ses mains et son intelligence, condition indispensable pour l’avènement de la patrie commune inéluctable d’une Humanité qui peut et doit perdurer".

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ PAR FIDEL CASTRO À LA RÉUNION DES CHEFS D’ÉTAT OU DE GOUVERNEMENT DU CARIFORUM, Saint-Domingue (République dominicaine), 21 août 1998

“Il faut être plus que jamais bolivarien; il faut brandir plus que jamais cette idée que la patrie est l'humanité, en étant conscients que nous ne pourrons nous sauver que si l'humanité se sauve; que nous ne pouvons être libres que si nous faisons en sorte que l'humanité le soit - et nous sommes loin, très loin de l'être; que si nous faisons en sorte que le monde soit vraiment juste, et un monde juste est possible et probable”.

Renvoi au texte original: Discurso pronunciado en el Aula Magna de la Universidad Central de Venezuela

“Ce que nous devons faire comme Latino-Américains, c'est tâcher de collaborer avec la Colombie, l'aider à instaurer une paix juste, une paix bénéfique à tous, bien entendu”.

Renvoi au texte original: Allocution prononcée à la clôture du Premier Congrès international Culture et développement, au palais des Congrès, 11 juin 1999

Je crois à l'union de tous les pays du monde, à l'union de tous les peuples du monde, mais à une union libre, vraiment libre; pas à une fusion, mais à une union libre de toutes les cultures, dans un monde vraiment juste, dans un monde vraiment démocratique.

Renvoi au texte original: Allocution prononcée à la clôture du Premier Congrès international Culture et développement, le 11 juin 1999

“Qui est représentée ici aussi par l'intermédiaire de l'Organisation continentale latino-américaine des étudiants. L'heure a sonné de penser à la patrie mondiale; l'heure a sonné de penser au monde, parce que notre planète s'est inexorablement mondialisée selon la philosophie, la conception la plus triste et la plus cruelle qui soit, sous l'égide d'une seule superpuissance et en vue d'un monde unipolaire, et tout ceci non pour sauver le monde, mais pour le détruire (applaudissements), non pour apporter la justice dont nous avons tous besoin.”

Renvoi au texte original: Allocution du Fidel Castro Ruz, lors de sa rencontre avec l'Union nationale des étudiants, à Belo Horizonte (Brésil), le 1er juillet 1999

“L'union, l'intégration, la justice signifient la possibilité de préserver tout ce que nous aimons. La culture, la patrie ne cesseraient jamais d'exister, même si nous parvenions au maximum d'union ou désintégration.”.

Renvoi au texte original: Allocution du Fidel Castro Ruz, lors de sa rencontre avec l'Union nationale des étudiants, à Belo Horizonte (Brésil), le 1er juillet 1999