« On laissait le peuple dans l’ignorance parce que c’est seulement ainsi que les cliques politiques pouvaient se maintenir, que les mauvais gouvernements pouvaient se maintenir, qu’une tyrannie sanguinaire pouvait se maintenir. »
Citas
"Qui pourrait s’étonner que la Conférence se soit vue dans l’obligation, pour des raisons qui ne découlent d’aucun préjugé politique mais de l’analyse objective des faits, de signaler que la politique des États-Unis joue un rôle-clé qui empêche l’établissement d’une paix juste et globale dans la région, dans la mesure où ceux-ci s’alignent sur Israël, le soutiennent, manœuvrent pour des solutions partielles favorables aux visées sionistes et garantissant les acquis de l’agression israélienne au détriment du peuple arabe palestinien et de toute la nation arabe?"
"La retraite finale des USA au Vietnam confina au désastre : une force d’un demi-million d’hommes entraînés et armés jusqu’aux dents ne put résister à la poussée des patriotes vietnamiens. Les occupants et leurs complices fuirent à la débandade de Saïgon, la capitale coloniale, aujourd’hui Ho Chi Minh, certains accrochés aux hélicoptères. Les Etats-Unis perdirent plus de 50 000 de leurs enfants, sans compter les mutilés. Ils avaient dépensé cinq cent milliards de dollars dans cette guerre, sans avoir levé d’impôts toujours désagréables en soi. Nixon renonça unilatéralement aux engagements de Bretton Wood et jeta les fondements de la crise financière actuelle. Tout ce qu’ils obtinrent fut un candidat pour le Parti républicain, quarante et un ans après".
"Quand les envahisseurs y débarquèrent, il y existait trois routes qui traversaient les marais, des centres de tourisme conclus et en chantier, et même un aéroport à proximité de la plage Girón, qui fut le dernier réduit des forces ennemies que nos combattants prirent d’assaut le 19 avril 1961 dans l’après-midi. J’ai parlé d’autres fois de cette histoire. Des manœuvres de diversion de la marine de guerre étasunienne retardèrent notre attaque foudroyante avec des chars, le 18 à l’aube. (...) Ce fut une tradition dans notre armée, dès le premier combat victorieux du 17 janvier 1957, de soigner les blessés. L’histoire de notre Révolution en fait foi".
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