Citas

« La Révolution a fait disparaître peu à peu une des formes de discrimination les plus injustes : la discrimination de la femme, celle dont on ne parlait pas, mais qui était latente, qui subsistait et qui pesait terriblement sur elle dans notre pays. »

Renvoi au texte original: A la clôture de la Troisième Réunion plénière nationale de la Fédération des femmes cubaines (île des Pins) : 19 février 1965

“Créer de la bureaucratie c’est jeter au dépotoir les ressources humaines, c’est transformer un homme ou une femme en un citoyen inutile et parasite; c’est abandonner l’énergie et l’intelligence humaines, qui doivent être utilisées dans de choses utiles pour la société, dans de choses utiles pour les êtres humains”.

Renvoi au texte original: Discours à l’Institut ouvrier de technologie de sols, fertilisants et alimentation du bétail “Rubén Martínez Villena”, le 30 janvier 1967

"Il devient de plus en plus évident que la femme doit participer à la lutte contre l’exploitation, contre l’impérialisme, le colonialisme, le néo-colonialisme, le racisme ; bref, à la lutte pour la libération nationale. Mais quand, enfin, l'objectif de la libération nationale a été atteint, les femmes doivent continuer à lutter pour leur propre libération au sein de la société humaine".

Renvoi au texte original: CLÔTURE DU DEUXIÈME CONGRÈS DE LA FÉDÉRATION DES FEMMES CUBAINES (FMC), La Havane, 29 novembre 1974
Le plus important de tout, c’est l’effort que consent la Révolution pour faire de chaque pionnier l’homme et la femme intégral de demain. Et aucune richesse matérielle ne sera comparable à la richesse spirituelle et intellectuelle que la société pourra offrir à chacun de vous.
Renvoi au texte original: À l’inauguration du Camp international de pionniers 26-Juillet à Varadero, 17 juillet 1977
« Je suis absolument convaincu que la société gagnera d’autant plus qu’elle sera capable de mettre en valeur les qualités, les capacités morales, humaines et intellectuelles de la femme, et d’en tirer profit. J’en suis absolument convaincu. C’est justement ça qui différencie une société juste, une société socialiste, de la société capitaliste. »

Renvoi au texte original: À la clôture du Troisième Congrès de la Fédération des femmes cubaines, 8 mars 1980

"L’Empire, et le système qui cause tout ça, peuvent-ils parler vraiment au monde de droits de l’homme ? Des droits de l’homme dans un système où une énorme partie de la population n’a pas d’emplois, où les femmes se prostituent, où les enfants sont livrés à leur sort ? Les chiffres d’enfants abandonnés en Amérique latine sont impressionnants : des millions, beaucoup de millions ! Comment un système pareil peut-il offrir des espoirs à l’être humain ? Comme ce système peut-il parler d’égards envers l’être humain ?
Voilà pourquoi nous avons tant de foi dans le socialisme, tant de confiance dans le socialisme, de si profondes convictions socialistes".

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ PAR FIDEL CASTRO RUZ POUR LE TRENTIÈME ANNIVERSAIRE DE LA DISPARITION DE CAMILO CIENFUEGOS, À LAWTON, LA HAVANE, le 28 octobre 1989

"(...) le tourisme est devenu une nécessité indispensable de notre économie. Mais il ne s'agit pas d'un tourisme de jeux et de casinos, d'un tourisme de maisons de tolérance. Ce tourisme-là, nous ne l'acceptons pas et nous ne sommes pas disposés à le tolérer, parce que tout l'or du monde vaut moins que la dignité d'une femme, à plus forte raison que la dignité d'une adolescente ! Nous punissons sévèrement la vente de mineurs à des étrangers pour des pratiques sexuelles ou la vente d'organes vitaux. Le viol répugnant de fillettes ou de garçonnets accompagné de circonstances aggravantes est inadmissible".

Renvoi au texte original: Allocution du Fidel Castro Ruz, lors de sa rencontre avec l'Union nationale des étudiants, à Belo Horizonte (Brésil).