Citas

 "L'oeuvre de la Révolution concerne non seulement les choses matérielles, mais aussi la conscience, l'esprit des gens, en vue de préparer l'être humain de demain, de l'avenir, et de lutter ainsi contre le mensonge, contre la plus sale et grossière propagande, contre les blocus, contre l'harcèlement qui cherche à affaiblir la Révolution, à affaiblir sa morale, sa conscience".

Renvoi au texte original: À LA CÉRÉMONIE DE CLÔTURE DE LA DEUXIÈME RENCONTRE MONDIALE SUR L'ENSEIGNEMENT SPÉCIAL

“Le 17 juillet - regardez que c'est à peine quelques jours plus tard -, les troupes nord-américaines et espagnoles commencent les négociations, auxquelles ne participent pas les forces cubaines; ce jour-là, l'armistice et la capitulation de la ville sont conclus. Les troupes nord-américaines entrent dans la ville, l'accès étant interdit aux patriotes cubains, ce qui constitue l'un des épisodes les plus tristes de notre histoire; ces combattants qui avaient lutté pendant 30 ans, depuis le 10 octobre 1868, n'ont pu entrer dans la ville. Le drapeau nord-américain est hissé au Palais de gouvernement et au Morro. Indigné, le général Calixto García, qui avait coopéré loyalement avec ces troupes censément alliées, écrit à Máximo Gómez et, devant cette humiliation insupportable, renonce à son poste de chef des troupes cubaines à Oriente. Quel jour ? Le 17 juillet.”

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ POUR LE QUARANTE-CINQUIÈME ANNIVERSAIRE DE L'ATTAQUE DES CASERNES MONCADA ET CARLOS MANUEL DE CÉSPEDES, Le 26 juille, 1998

“Les investissements étrangers et le maximum de possibilités, de garanties et de sécurité pour les investisseurs s'inscrivent parfaitement dans notre conception révolutionnaire et vraiment socialiste”.

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ À L'INAUGURATION DE LA FOIRE INTERNATIONALE DE LA HAVANE (FIHAV '98), 1er novembre 1998

“Le Flora avait fait environ 1 200 victimes. Aujourd'hui, il n'y en aurait pas eu, car chaque fois qu'un cyclone menace, malgré les retenues d'eau et tout le reste, on évacue tout le monde, grâce à notre organisation (…)”

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ À LA CLÔTURE DU DOUZIÈME FORUM NATIONAL DES SCIENCES ET TECHNIQUES

«Notre peuple n'est pas meilleur que d'autres; (...) Il ne s'agit pas d'un grand peuple en soi, mais d'un peuple agrandi par lui-même, et sa capacité à le faire naît de la grandeur des idées et de la justesse des causes qu'il défend.  Il n'en existe pas d'autres égales, et il n'en a jamais existé.»

Renvoi au texte original: Discours prononcé pour le quarantième anniversaire de la Révolution, place Céspedes (Santiago de Cuba), le 1er janvier 1999

«Ce n'est pas non plus notre faute ou notre mérite que la lutte engagée le 1er janvier doive se convertir inexorablement, pour le peuple d'aujourd'hui et de demain, en une lutte qu'il faudra livrer aux côtés de tous les autres peuples dans l'intérêt de l'humanité toute entière. Aucun peuple, aussi grand et aussi riche qu'il soit – à plus forte raison un pays petit ou moyen – ne peut à lui seul et par lui-même résoudre ses problèmes.»

Renvoi au texte original: Discours prononcé pour le quarantième anniversaire de la Révolution, place Céspedes (Santiago de Cuba), le 1er janvier 1999

«Nous vivons une étape où les événements vont plus vite que la conscience des réalités dont nous souffrons. Il faut semer des idées, démasquer les leurres, les sophismes et les hypocrisies, en utilisant des méthodes et des moyens à même de contrecarrer la désinformation et les mensonges institutionnels. L'expérience de quarante ans de calomnies déversées sur Cuba comme des pluies torrentielles nous a appris à faire confiance dans l'instinct et dans l'intelligence des peuples.»

Renvoi au texte original: Discours prononcé pour le quarantième anniversaire de la Révolution, place Céspedes (Santiago de Cuba), le 1er janvier 1999