Citas

"La crise est la conséquence de l’échec retentissant et irréversible de la conception économique et politique qu’on a imposée au monde, à savoir le néo-libéralisme et la mondialisation néo-libérale".

Renvoi au texte original: Intervention télévisée sur la situation internationale actuelle, la crise économique et mondiale et ses possibles conséquences pour Cuba, le 2 novembre 2001

“La crise économique veut dire en plus aggravation de problèmes très importants qui sont loin d’avoir été réglés : la pauvreté, la faim et les maladies qui tuent chaque année des dizaines de millions de personnes dans le monde ; l’analphabétisme, l’inculture, le chômage, l’exploitation du travail et la prostitution des millions d’enfants ; le trafic et la consommation de drogues, qui mobilisent et insufflent des centaines de milliards de dollars ; le blanchiment d’argent ; la pénurie d’eau potable ; le manque de logements, d’hôpitaux, de moyens de communication, d’écoles et de centres d’éducation”.

Renvoi au texte original: Intervention Télévisée sur la situation internationale actuelle, la crise économique et mondiale et ses possibles conséquences pour Cuba, 2 novembre 2001

"Il faut repenser tout ce qui a été créé depuis Bretton Woods. Qui s’est fait sans aucune véritable vision d’avenir. Ce sont les privilèges et les intérêts du plus puissant qui ont prévalu. Face à la profondeur de la crise actuelle, on nous offre un avenir encore pire où la tragédie économique, social et écologique d’une monde ne se réglera jamais, si bien que le monde sera de plus en plus ingouvernable. »

Renvoi au texte original: À la Conférence mondiale sur le financement au service du développement, à Monterrey (Mexique), 21 mars 2002

"Il faut repenser tout ce qui a été créé depuis Bretton Woods jusqu’à ce jour. A cette époque-là, aucune vraie vision de l’avenir n’a primé. Ce sont les privilèges et les intérêts du plus puissant qui ont prévalu. Et face à la profonde crise actuelle, on nous offre un avenir encore pire, où la tragédie économique, sociale et écologique d’un monde toujours plus ingouvernable ne se réglera jamais."

 

Discours et interventions : À la Conférence internationale sur le financement du développement, Monterrey (Mexique), le 21 mars 2002.

Renvoi au texte original:
Face aux changements climatiques, aux dommages anthropiques causés à l’environnement, aux crises économiques, aux épidémies et aux cyclones, nos ressources matérielles, scientifiques et techniques sont toujours plus abondantes. La protection de nos citoyens occupera toujours le premier rang dans nos efforts. Rien d’autre n’aura de priorité sur ça.
Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ, SUR LA CRISE MONDIALE ACTUELLE, À L’OCCASION DE LA PRISE EN CHARGE DE SES FONCTIONS, LE 6 MARS 2003

“La crise que le monde traverse de nos jours n’est pas – et ne peut pas l’être – celle d’un pays, d’un sous-continent ou d’un continent : elle est aussi mondiale. Voilà pourquoi le système impérial et l’ordre économique qu’il a imposé au monde sont intenables. Les peuples décidés à lutter non seulement pour leur indépendance, mais aussi pour leur survie ne pourront jamais être vaincus, même s’il s’agit d’un seul peuple”.

Renvoi au texte original: Allocution à l'occasion de la remise de l'ordre Carlos Manuel de Céspedes au président du Venezuela, Le 14 décembre 2004
La humanité peut se sauver, parce que le Empire souffre une crise profonde. Sans crises, pas de changements ; sans crises, par de conscientisation. Une journée de crise conscientise plus que dix années où il ne se passe rien, dix années sans crises.
Renvoi au texte original: À la Conférence mondiale sur le dialogue des civilisations, 30 mars 2005