"Comment osent-ils parler de ces droits, eux qui entretiennent d'étroites relations avec les racistes sud-africains, ces oppresseurs, ces discriminateurs et ces exploiteurs de vingt millions d'Africains ; eux qui livrent d'énormes quantités d'armes sophistiquées aux agresseurs sionistes ayant expulsé le peuple palestinien de sa terre et refusant de rendre aux pays arabes les territoires enlevés de force ?"
Citas
"La base d’une paix juste dans la région commence par le retrait total et inconditionnel d’Israël de tous les territoires palestiniens et des autres territoires arabes occupés et suppose pour le peuple palestinien la restitution de tous ses territoires occupés et le recouvrement de ses droits nationaux inaliénables, y compris son droit au retour à sa patrie, à l’autodétermination et à l’instauration d’un État indépendant en Palestine, conformément à la Résolution 3236 de l’Assemblée générale. Ce qui implique l’illégalité et la nullité des mesures adoptées par Israël dans les territoires palestiniens et arabes occupés, ainsi que celles de l’implantation de colonies dans les territoires palestiniens et dans les autres territoires arabes, leur démantèlement immédiat étant une condition requise pour la solution du problème."
[…] « L’Histoire dit que si tous ceux qui participent à cette lutte font leur devoir, ils rentreront un jour dans leur patrie satisfaits d’avoir coopéré non seulement au maintien de la révolution et de l’indépendance angolaises, mais encore à l’indépendance de la Namibie et à la défaite du fascisme et à la disparition de l’apartheid. Nous aurons tous contribué à l’indépendance, à la sécurité et à la dignité de tous les peuples africains. »
Discours et interventions : Rencontre avec des milliers de coopérants internationalistes cubains à Luanda (Angola), le 9 septembre 1986.
" L’apartheid, forme fasciste du capitalisme et de l’impérialisme, implique l’idée de races supérieures et de races inférieures."
Discours et interventions : Pour le trente-huitième anniversaire de l’attaque de la caserne Moncada, à Matanzas, 26 juillet 1991.
“Avant que les machines et les robots – voilà donc à peine un siècle et demi – ne prennent en charge nos modestes tâches au moindre coût, l’humanité n’avait jamais connu, tout au long de son histoire, aucun des phénomènes qui la bouleversent aujourd’hui et régissent inexorablement les destinées de chacun de nous, hommes et femmes, enfants et vieux, jeunes et adultes, agriculteurs et ouvriers, manuels ou intellectuels… Elle tend surtout à s’installer dans les villes où la création d’emplois, de transports et de conditions de vies élémentaires exige des investissements énormes au détriment de la production alimentaire et d’autres formes de vie plus raisonnables.”