Citas de Fidel sobre atentados

«Et c’est ainsi qu’en faisant les adieux aux morts d’aujourd’hui, à ces soldats et à ces ouvriers, je n’ai d’autre idée en ce moment des adieux que l’idée qui symbolise cette lutte et qui symbolise ce que notre peuple est aujourd’hui. Gisez ensemble, en paix ; ouvriers et soldats ensemble, ensemble dans leurs tombes, comme ils ont lutté ensemble, comme ils sont tombés morts ensemble et comme nous sommes prêts à mourir ensemble»
L’ennemi ne cesse pas son acharnement à nous détruire. Il y a deux conceptions : celle des éléments d’extrême droite de la politique des États-Unis qui rêvent de nous étrangler par un blocus économique encore plus endurci si c’était possible et de nous balayer de la face de la terre n’importe comment. Ce sont eux qui promeuvent des lois telles que la Helms-Burton, bien connue et analysée par notre peuple, entre autres mesures draconiennes. Ce sont eux qui veulent nous détruire de l’extérieur.
«Je me souviens de ma visite au Chili à l’époque d’Allende quand ils étaient en train d’organiser des attentats tout au long du périple qui a duré à peu près 20 jours. Et même, à un moment donné, il y avait devant moi l’une de ces caméras avec les armes dedans. J’ai parlé devant des caméras piégées, mais ils ne sont pas de fanatiques, ils ne sont pas de fondamentalistes, ils sont des mercenaires, et les mercenaires veulent vivre pour profiter du paiement qu’ils reçoivent. Et voilà comment cette fois-là que la caméra était placée devant moi, ils n’ont pas osé appuyer sur la détente.»
«Moi, vraiment, quand ils (les terroristes) organisent plusieurs plans de ce genre, au lieu de m’attrister, cela me rend heureux, parce qu’en fin de compte, ce que j’aime le plus, c’est le défi. Ils savent que j’aime le défi, ils savent que je ne vais pas marcher de l’autre côté, s’ils sont de ce côté; je prends mon chemin par ici pour une question de principes, pour une question d’honneur. Et beaucoup de fois, j’y vais, je m’approche d’eux et je leur parle.
«Et tant qu’il y aura de la justice, il n’y aura pas de vengeance. Pour qu’il n’y ait pas d’attentats contre personne le lendemain, il doit y avoir de la justice aujourd’hui ; comme il y aura de la justice, il n’y aura ni vengeance ni haine. Nous chasserons la haine de la république comme une ombre maudite qui nous a laissé l’ambition…»